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Actu-Environnement

Véhicules électriques en ville : la solution industrielle à la pollution atmosphérique urbaine ?

Alors que les pouvoirs publics soutiennent clairement le développement des véhicules électriques, le surcoût semble encore rédhibitoire pour un avènement de l'électricité dans les voitures particulières, véhicules de transport collectif, camions de livraison etc…

Reportage vidéo  |  Transport  |    |  B. Clarke

Avec en ligne de mire le développement d'une filière industrielle "verte", les constructeurs automobiles sont clairement parvenus à fédérer les pouvoirs publics autour des véhicules électriques et ce, quelle que soit leur couleur politique. Pour preuve, la filière bénéficie aussi bien des soutiens de l'Etat que des collectivités locales à l'instar de Paris avec l'Autolib'.

Le frein du surcoût

Pourtant, malgré les aides financières, le surcoût reste un frein à l'avènement de l'électricité dans les voitures particulières, véhicules de transport collectif, camions de livraison, BOM etc… Alors que la France est sous le joug de sanctions européennes pour la pollution particulaire de ses agglomérations, le véhicule électrique apparaît surtout comme une solution parmi d'autres à l'instar de la détermination de Zapa, de la généralisation des filtres à particules, de l'instauration de péages urbains etc…

Réactions2 réactions à cet article

J’ai connu à Lyon, dans les années 50 des véhicules de livraison électriques, plusieurs dizaines, qui étaient rechargés la nuit dans un garage situé près du Palais d’Hiver, l’OLYMPIA lyonnais (où se sont produit, la première fois hors Paris, les BEATLES le 22 juin 1965).
Les japonais qui construisaient les « ZÉRO » des kamikazes, se sont reconvertis en fabricant des voitures électriques sous la marque Tachikawa Aircraft Company".. Après la guerre, la compagnie se diversifie dans les automobiles, en produisant une voiture électrique, la Tama, rechargeable partout, d’une autonomie de 200km, vitesse de pointe 53 km/h »en 1952. La compagnie a changé son nom en Prince en 1955 pour honorer l'Empereur du Japon, le Prince héritier Akihito. Prince a réussi en construisant des automobiles de qualité. Parmi ses lignes automobiles les plus réputées il y avait la Skyline et la Gloria, qui ont été absorbées dans la gamme de NISSAN après leur fusion de 1966. L'organisation Prince est restée existante à l'intérieur de Nissan, bien que la marque ait disparu. La suite tout le monde la connaît !
Si vous avez des précisions sur les véhicules de livraison, je serai curieux de les connaître.
Pour en savoir plus sur la TAMA envoyez une adresse courriel.si ce service l’autorise.

Ignorant | 09 février 2012 à 10h28 Signaler un contenu inapproprié

Oui, comme le souligne le commentateur du reportage vidéo à la fin, il y a plein d'autres solutions qui ne demandent aucune technique et applicables immédiatement et qui ne coûtent rien dont fait parti le vélo et je parle en connaissance de cause car j'utilise mon vélo pour tous mes déplacements urbains (25 km par jour) et il n'y a rien de plus simple, efficace, rapide, souple, abordable et excellent pour la santé. Et si on veut le développer il n'y a rien à investir il suffit de basculer l'argent utilisé pour construire des nouvelles routes (qui ne font qu'augmenter le trafic automobile) vers des pistes et équipements cyclables (allez même la moitié de cet argent suffira). C'est faisable tout de suite. Il n'y a pas à attendre.

cyclotan | 10 février 2012 à 18h57 Signaler un contenu inapproprié

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