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Actu-Environnement

Transport : "La loi mobilités facilitera le développement du véhicule électrique"

L'Etat français vise un million de véhicules électriques en 2022 contre 200.000 aujourd'hui. Différentes mesures doivent être prises pour convaincre les conducteurs français. Détails avec Joseph Beretta, président de l'Avere.

Entretien  |  Transport  |    |  R. Pin

Avec 200.000 véhicules électriques (hybrides rechargeables et véhicules à batterie), l'électrique représente à peine 2 % du parc automobile français. Mais l'objectif français est ambitieux avec un million de véhicules électriques en 2022. Plusieurs mesures doivent être prises pour convaincre les consommateurs : accès à des voies réservées, stationnement gratuit, ou maintien d'une prime à la conversion.

Concernant les bornes de recharge, la France en compte aujourd'hui 25.000 accessibles au grand public, mais vise 100.000 bornes en 2022. Outre des aides financières publiques pour accélérer le déploiement des bornes dans les collectivités, une simplification des procédures pour une installation plus rapide dans les copropriétés (3 mois, contre 6 mois en moyenne aujourd'hui) est également attendue. Détails avec Joseph Beretta, président de l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere).

Réactions3 réactions à cet article

Stationnement gratuit pour les véhicules électriques? C'est une blague? Le problème principal des villes n'est pas tant le stationnement que la circulation (ce qui ne veut pas dire pour autant qu'il n'y a pas de problèmes de stationnement). Le jour où le parc automobile est entièrement électrique, on aura donc toujours les mêmes problèmes de bouchons qui ne seront pas résolus.... çà polluera éventuellement moins, mais çà n'aura rien changé aux conditions d'accessibilité.

nimb | 07 mai 2019 à 09h03 Signaler un contenu inapproprié

Mais bien sûr! comme d'habitude le problème n'est pas pas pris à la racine. D'accord, c'est bien de prévoir des véhicules électriques qui polluent moins. Mais, surtout, il faut rétablir les "cars" qui sillonnaient les routes autrefois et qui ont été remplacés par des véhicules individuels. Nous sommes prêts à être véhiculés collectivement si les cars ont des horaires qui conviennent et peuvent s'arrêter facilement sans encombrer la chaussée et en établissant des arrêts assez proches les uns des autres. Autrefois un signe de la main et le car s'arrêtait... c'était génial!

pervenchebio | 01 février 2020 à 14h30 Signaler un contenu inapproprié

J'ai testé la Zoé par curiosité, j'ai pas aimé, l'engin lourdingue, pas optimisée pour une conduite coulée comme en essence.
Donc un système partagé peu coûteux, mais le village est divisé en 2 celui de la mairie très avantagé, l'autre un gros hameau sur la nationale et ceux qui travaillent en majorité, zéro Zoé.
La Zoé près de la mairie sert quasiment jamais, évidement.
Et le paiement par carte bleue non sécurisé, même pas d'abonnement proposé, 4/5 km à pieds pour rejoindre la caisse.
Il y a beaucoup de progrès à faire dans la recherche de mobilités.
Moi j'attend l'automatisation des trains, ceux-ci manquant de fiabilité, grèves ou autres, donc inutilisables.

pemmore | 08 janvier 2021 à 11h57 Signaler un contenu inapproprié

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