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Actu-Environnement

Transition énergétique : Ségolène Royal mise sur le véhicule électrique

Donner à tous les Français l'accès à un véhicule électrique. C'est l'ambition portée par la ministre de l'Ecologie à travers le projet de loi sur la transition énergétique.

Transport  |    |  L. Radisson

On savait que la ministre de l'Ecologie attachait une grande importance au développement du véhicule électrique. La présentation du projet de loi pour la transition énergétique vient le confirmer.

Une prime pour la mise au rebut d'un véhicule diesel

Le parc de véhicules électriques est très marginal aujourd'hui : environ 30.000 sur un total de 38 millions de véhicules en circulation, soit 0,08% du parc français. "La transition énergétique doit accélérer la mutation du parc automobile français vers des véhicules électriques, moins émetteurs de gaz à effet de serre et de polluants atmosphérique, moins consommateurs d'énergies fossiles", défend le Gouvernement. Pour cela, Ségolène Royal annonce plusieurs mesures.

La première est une majoration du bonus à l'achat d'un véhicule électrique lorsqu'il s'accompagnera de la "mise au rebut" d'un véhicule diesel. "Cet avantage supplémentaire sera octroyé sous conditions de ressources et prioritairement dans les zones concernées par une mauvaise qualité de l'air", précise toutefois le ministère de l'Ecologie. Pour les acquéreurs éligibles, le cumul du bonus et de la prime à la conversion pourra atteindre 10.000 euros.

Développer les points de recharge

Le Gouvernement souhaite ensuite développer les points de recharge sur l'ensemble du territoire. Le projet de loi fixe l'objectif de 7 millions de points de recharge en France en 2030. Ce chiffre paraît particulièrement ambitieux, alors que le ministère de l'Ecologie affirme en même temps que "à l'été 2014, 10.000 points de recharge ouverts au public seront fonctionnels".

"L'offre d'infrastructure de recharge et de pré-cablage des parcs de stationnement doit être anticipée et favorisée en incitant les collectivités territoriales à poursuivre leurs plans de développement, en encourageant leur installation dans les bâtiments tertiaires et dans les bâtiments d'habitation ", indique l'exposé des motifs du projet de loi.

Pour cela, son article 11 généralise l'obligation d'équipement des bâtiments neufs aux bâtiments industriels, aux locaux commerciaux et aux bâtiments accueillant un service public. Quant aux bâtiments existants, ils devront être équipés à l'occasion de travaux sur les parcs de stationnement. Le vote des travaux d'installations de bornes de recharge dans les copropriétés sera désormais possible à la majorité simple.

Pour faciliter le déploiement, Ségolène Royal a également annoncé "un avantage fiscal à hauteur de 30%" qui bénéficiera aux particuliers installant des bornes de recharge entre le 1er août 2014 et le 31 décembre 2015. "Les espaces de stationnement de zones commerciales existantes devront être également équipés", indique également de manière laconique le ministère de l'Ecologie, sans que l'on sache bien ce qui relève de ce projet de loi, d'un autre texte ou d'initiatives extérieures à la loi.

Déployer les véhicules électriques dans les flottes publiques

Enfin, un autre article du projet de loi vise à favoriser le déploiement des véhicules électriques dans les parcs automobiles gérés par l'Etat et ses établissements publics.

Outre une diminution des émissions de gaz à effet de serre (GES) et de la pollution locale, cette mesure poursuit "un objectif de simulation du marché des véhicules propres grâce à la demande publique" qui doit dynamiser le tissu industriel national et conforter les emplois correspondants, estime le Gouvernement.

Réactions20 réactions à cet article

Les australiens sortent d'ici environ un an une voiture solaire 2 places Swinburne Solar X, un roadster. Les 2 à 4 places solaires existent depuis 2009 et ont été testées dans toutes les situations climatiques avec succès, telle la Solarword GT en particulier ou encore l'eVe Sunswift, la Suncruiser Solar, la Stella Solar, la Daedalus Solar, la Calgary Solar etc et près d'une dizaine sont déjà sous formes de plus en plus transférables à l'industrie. Avantages : très peu de batteries (20 à 60 kg), très peu de bornes de recharges nécessaires, pas de pollution directe, autonomie de plusieurs centaines de km y compris de nuit, efficacité énergétique maximale. C'est sûrement l'une des solutions les plus directement efficientes pour les véhicules légers 2 à 5 places, qui permet en outre de recycler les fibres de carbone de l'industrie aéronautique, mais cela risque de gêner les réseaux de vente d'énergie et d'entretien (fiabilité et longévité de l'électrique et du solaire et quasi absence de batteries) !

Véhicules solaires et solaire dans l'automobile | 19 juin 2014 à 05h02 Signaler un contenu inapproprié

Sur ce point : " Le projet de loi fixe l'objectif de 7 millions de points de recharge en France en 2030", je m'interroge sur l'impact de ces installations utilisées en simultanéité, notamment lors de pointes de consommation.

jmichel | 19 juin 2014 à 09h18 Signaler un contenu inapproprié

@Véhicules solaires et solaire dans l'automobile :
Le solaire n'est pas une solution miracle. Même s'il comporte des avantages par rapport à d'autres sources d'énergie, il a aussi ses inconvénients vis à vis d'eux.
La fabrication de panneaux solaires coûte cher, elle fait appelle à des "terres rares" (très rares en fait) dont les réserves ne sont pas en France et nécessite donc de gros investissement pour les acheter à l'étranger et bien sûr du pétrole pour les rapatrier en France. L'exploitation de terres rares nécessite de décaisser de la roche en grande quantité, ce qui fragilise nos écosystème et pollue notre environnement. Le recyclage des panneaux usés est possible mais difficile et coûteux.
Notez que je n'aime pas non plus la solution qui consiste à développer des "bornes électriques" qui sous entend que demain, il faudra plus d'énergie électrique ce qui risque d'amener une développement outrancier de moyens de production d'énergie électrique pour alimenter quelques dizaines de millions d'automobilistes.

Bref, gaz, pétrole, charbon, nucléaire, schiste, éolien, solaire, vous pouvez chercher autant que vous le voulez, la matière c'est de l'énergie, consommer de l'énergie (qu'on ne sait "pas" recycler) c'est bouffer notre environnement petit à petit.
C'est le prix à payer pour une société de confort. Egoïstes, profitons-en, nos enfants n'auront pas notre confort mais bien plus que nous à payer. Nous sommes conscient de ça et responsables de nos actes...

Zugzwang | 19 juin 2014 à 10h11 Signaler un contenu inapproprié

je rappelle que le soleil dans le midi fournit 1KW par m².
Qui veut d'une voiture de 15 chevaux à midi qui ne permet pas de renter chez soi le soir?

La science est têtue, ceux qui veulent la violer sont toujours disparus.

zaravis | 19 juin 2014 à 10h24 Signaler un contenu inapproprié

Les véhicules électriques déplacent la pollution vers les centrales électriques.
Si nous voulions convertir a l'électrique tous nos véhicules le surcroit de consommaton serait prodigieux; en effet il faudrait cumuler les pertes liées a la production électrique a celles des charges de batterie. La gestion du réseau électrique serait grandement bouleversée: il faudrait ajouter de nombreuses lignes électriques et pas seulement en haute tension: en effet il faut considérer que la consommation des abonnés serait fortment augmentée. Bref c'est un renforcement général du réseau qui se profile (je préfère ne pas penser au prix!!!)
L'autre aspect est la gestion des pointes de consommations et là on va nous ressortir les "smart grids"=réseau intelligent= avec l'électricité qui s'éteint et se rallume CHEZ l'usager à son INSU, juste pour faciliter le travail des producteurs (= leur éviter des dépenses) il leur est plus avantageux de reporter une partie de la dépense chez les abonnés.


J'ai lu que les véhicules électriques solaires pouvaient faire des centaines de kilimomètres avec 40 à 60 kg de batterie: la SEULE façon d'y arriver est de rouler assez lentement (rouler au pas) pour y arriver. Il es toujours possible de faire une pointe de vitesse pendant quelques secondes. Le véhicule solaire n'a pas besoin d'avoir des phares puisque la nuit il attend la venue du jour suivant ;-)

ami9327 | 19 juin 2014 à 12h48 Signaler un contenu inapproprié

Et les bateaux solaires pour amener ces merveilles de panneaux solaires chinois en France?
La voiture électrique est tellement "vertueuse" qu'on pourrait presque la labelliser "bio". Bravo au lobbying de M. Bolloré!
L'énergie est consubstantielle à la vie, c'est pourquoi les ressources biologiques, capteurs naturels de l'énergie solaire, sont à développer pour produire de l'énergie: il ne faut pas attendre la 40ème génération de biocarburants, comme semblent le demander les anti-agricoles primaires de ce fil, à l'unisson des majors pétrolières et des idolâtres du photovoltaïque.

Albatros | 19 juin 2014 à 13h59 Signaler un contenu inapproprié

Je pense que nos ministres devraient prendre le temps de la réflexion, surtout lorsqu'on voit le scandale sanitaire et écologique des déchets de DEEE.
Voir l'avis de Ozzie Zehner sur Arte : Les voitures électriques sont-elles vraiment propres ?
Quelle durée de vie, combien de batteries, combien de centrales nucléaires ou à charbon faudra t'il ? Celà me fait penser à l'ineptie des agro-carburants...

PIC | 19 juin 2014 à 14h30 Signaler un contenu inapproprié

Sur les terres rares, un groupe d'étudiants du Mastère Spécialisé Analyse Stratégique et Intelligence Economique de l'EISTI a édité un rapport il y a un an ou deux (je ne sais plus, un de mes copains m'en avait parlé à l'époque).

En tout cas, mon copain semblait dire que la Chine détient la majorité des métaux issus des terres rares, qui servent, notamment à fabriquer les panneaux solaires. Or, comme l'Europe et la Chine sont à couteaux tirés, il est possible que les chinois se servent de ce quasi-monopole pour étrangler les pays d'Europe et les contraindre à quelques concessions.

Pierre75 | 19 juin 2014 à 16h29 Signaler un contenu inapproprié

Le summum de l'ineptie : d'un côté on impose la stabilisation de la production d'énergie électrique fiable et régulière (le nucléaire), de l'autre on incite à de nouveaux usages de l'électricité. Résultat prévisible, la construction de turbines à gaz. On marche sur la tête !!!

dmg | 19 juin 2014 à 18h33 Signaler un contenu inapproprié

@Pierre75 La France à renoncé il y a plusieurs années séparer les terres rares à cause du dumping chinois et sans doute aussi parce que les minerais contiennent aussi un peu d'Uranium ce qui posait un problème pour l'élimination de déchets (suivant les normes en vigueur chez nous).
La séparation des terres rares est extraordinairement complexe mais nous avons la Technique. Solvay a récemment repris l'usine pour y recycler les déchets de DEEE contenant des terres rares (et ne contenant donc pas d'Uranium!) Les panneaux solaires n'emploient pas de terres rares: c'est le silicium qui est employé.

La durée de vie des batteries est l'un des plus gros problèmes avec leur capacité massique: d'ailleurs elles sont (le plus souvent?) louées. La solution des blocs batteries interchangeables au lieu des batteries à recharger ne semble pas l'emporter. C'est objectivement la meilleure solution a tous points de vue: utilisateurs, chargeurs de batterie (Entreprise de recharge de..), Gestion du réseau électrique (lissage des pics de consommation).
Un dispositif correctement étudié permettrait le remplacement du ou des blocs EN UN TEMPS COMPARABLE A CELUI D UN PLEIN DE CARBURANT. Il faut NORMALISER les blocs batteries avec un traçage électronique des cycles afin que le loueur ou l'entreprise de recharge de batteries sache quand il faut retirer du circuit un bloc trop vieux.

ami9327 | 20 juin 2014 à 00h56 Signaler un contenu inapproprié

@ Zugzwang : oui mais 98% du marché solaire utilise des technologies silicium pas concernées par les métaux rares (silicium, sable = 25,7% de la masse terrestre, élément le plus abondant sur terre après l'oxygène. Dans les 2% des panneaux qui utilisent des métaux rares 1/4 est concerné par l'indium (à peine 0,5% du total). Le germanium et le gallium, même pas décrits dans les statistiques, rentrent dans une catégorie fourre-tout qui représente moins de 0,015% du total des éléments minéraux utilisés dans les panneaux. Par contre l'indium est utilisé à 75% pour les couches minces des écrans plats, le gallium à 98% dans les télécoms ! Les leds représentent la 2e utilisation. Le germanium est utilisé majoritairement pour les fibres optiques et la production de semi-conducteurs. Le recyclage solaire n’est en général pas si complexe.

Véhicules solaires et solaire dans l'automobile | 20 juin 2014 à 03h00 Signaler un contenu inapproprié

@ Zaravis et Ami9327 : entre autres courses solaires le "World Solar Challenge" date de 1987. En 2013 sur 3021 km (Darwin à Adélaïde) la vitesse moyenne solaire sans charge externe = 75 km/h (classe Cruiser 2 à 4 places) à 91 km/h (Challenger) malgré vent et nuages, loin de la marche "au pas" ! Analysez le détail des performances et résultats depuis des années. 5 à 8 m2 de solaire suffisent à ces véhicules très efficients et légers 2/4 places (Cruiser) pour ces vitesses moyennes (pointe 150 km/h) (Les vitrages solaires commencent aussi à être intégrés, augmentant encore surface et performances). Par ex. moteurs dans les roues 1,8 KW/98% de rendement, Cd/Cx, poids et coef de roulement excellents (Cd 0,25 pour Toyota Prius, 0,24 pour Tesla, 0,07 pour certains véhicules solaire !) La batterie compenserait le cas échéant dans des situations critiques, l'intérêt étant d'avoir à utiliser le moins de batterie (22 kg en moyenne contre 420 kg pour une Tesla !) et le moins de bornes de recharges en usage courant. Voir entre autres le périple de plus d’1 million de km par tous temps de la Solarworld GT 3 places sortie en 2009 suivie par la Suncruiser Solar (Bochum, Allemagne).

Vous êtes invités comme Zugzwang au World Solar Challenge 2015 pour être convaincus et vérifier par vous-mêmes les évolutions et réalités de la classe Cruiser solaire 2 à 4 places ! Ou bien faîtes un tour à Eindhoven (Stella Solar) ou à l'Univ. du NSW (eVe Sunswift) où ils sont en pointe comme bcp d'autres.

Véhicules solaires et solaire dans l'automobile | 20 juin 2014 à 03h26 Signaler un contenu inapproprié

Alors,
Il faut diviser par deux la consommation d'électricité (objectif de la ségo) et en même temps augmenté l'utilisation de celle ci avec les voitures électriques.
La population va elle aussi augmenté.
L'hivers il ne faudra plus se chauffé??
Il faut tous passer au chauffage bois???(Dommage les forets se développaient en France de puis pas mal d’années, mais avec l'envolée des prix du bois annoncé par la filière......)

Elle peu raconter n'importe quoi la Ségolène et vous avez tous les fanes (presque égale à fanatique) de la royale qui sont content!!!

yannquirigole | 20 juin 2014 à 09h32 Signaler un contenu inapproprié

Je veux bien que les véhicules solaires aient les performances que vous indiquez. Mais alors pourquoi ne sont-ils pas partout aujoud'hui???
Qu'est-ce qui change pour un fabricant de véhicules électriques entre le tout batterie et le mix photovoltaïque+batteries? Puisque de toute façon ce n'est pas lui qui les fabrique: il se contente de définir un cahier des charges et c'est aux autres de répondre s'ils peuvent ou non le satisfaire. L'argument du prix des panneaux photovoltaïque ne peut plus être employé: leur fabrication a été grandement subventionnée ET industrialisée et les prix actuels ne peuvent vraisemblablement plus diminuer encore. Au niveau des batteries il y a sans doute encore une marge de progrès.
Juste un détail pas de climatisation sur une auto électrique! ça consomme trop d'électricité!!!
La solution sera sans doute d'avoir des véhicules pour usage urbain majoritaire et d'autres a carburant, pour couvrir les autres besoins.
Le véhicule urbain sera à deux place, électrique, vitesse maxi calée sur 70Km/H qui est le maximum en zone urbaine ( traversée de hameaux, certaines route à 4 voies en ville. Le véhicule non urbain sera comme toutes les voitures d'aujourd'hui. Cette solution ouvre un nouveau marché qui ne serait pas tout à fait aux dépends des constructeurs conventionnels, les problèmes électriques seraient plus faciles a gérer (par la concentrationdes installations.)

ami9327 | 20 juin 2014 à 12h37 Signaler un contenu inapproprié

En quoi la voiture électrique facilite t-elle la transition écologique ? on a toujours un engin d'une tonne, qui a besoin autant d'espace pour rouler et circuler (routes et autoroutes) et d'autant d'énergie pour être construite, entretenue, déplacée. Gain nul. les écobilans au mieux donne la VE au niveau du thermique.
Par contre pas un mot sur le vélo par exemple. Quand l'écologie est prise en otage par l'industrie.

Charles | 21 juin 2014 à 13h30 Signaler un contenu inapproprié

@ Ami9327 : les véhicules hybrides existent depuis 1899, pourtant en 2013 ils ne représentaient en France que 2,3% du marché ! Vous trouverez maints exemples où des technologies intéressantes sont lentes à émerger ou bloquées pour diverses raisons. Il en est de même lorsqu'il s'agit de réformes politiques, il est souvent long de s'adapter et mieux pour certains de maintenir le satu quo jusqu'à la limite où le changement s'impose. Regardez la lenteur de la transition énergétique (pourtant démarrée dès les années 70 en Scandinavie etc). Toutefois pour les véhicules solaires 2/4 places ils n'existent que depuis 2009 et il y avait encore des améliorations techniques à apporter (par ex. concilier faible poids - 220 à 400 kg max - et confort des véhicules classiques). L'industrialisation va commencer. Bcp de pays s'y intéressent. Il y a aussi bcp d'intérêts contraires car ils nécessitent bien moins de batterie (facteur 10), bien moins de bornes de recharges, très peu de conso électrique, très peu d'entretien donc néfaste aux réseaux. Toutefois la qualité des intervenants (universités de pointe etc) et nombre de modèles en hausse, comme intégration de la classe Cruiser dans les courses solaires confirment que çà arrive. C'est une question d'années désormais pour avoir plusieurs modèles commercialisés d'autonomie de plusieurs centaines de km (la Swinburne Solar X est prévue pour l'an prochain) et l'apport solaire s'accroît par ailleurs dans l'auto (Ford, BMW, Nissan, Toyota etc).

Véhicules solaires et solaire dans l'automobile | 22 juin 2014 à 02h12 Signaler un contenu inapproprié

grosse erreur à mon avis qu'on risque de payer trés chers ...les véhicules hybrides oui mais les véhicules 100 % électiques non . Avec la volonté politique de développer le renouvelable ...type éoliennes , trés irrégulier ...seul un carburant stockable peut avoir un sens écoligique .
donc , à mon sens , c'est bien l'hydrogéne produit avec les ENR qui a du sens .....voitures à hydrogéne .

véhicule à hydrogéne | 23 juin 2014 à 11h45 Signaler un contenu inapproprié

@ Véhicule à hydrogène : les véhicules à hydrogène sont une des solutions mais pas universelle non plus car il faut le produire et souvent transporter l'hydrogène des sites de production et çà ne se fait pas par pipeline ! en plus des stations et du stockage dans des conditions bien précises, de la conversion et coûts. Le moins défavorable à l'environnement est d'agir avant tout sur l'efficacité des véhicules (donc poids, aérodynamisme, Cx/Cd etc. et énergie directe type solaire ce qui minimise les apports extérieurs en batteries, pertes de rendement, ressources renouvelables externes etc et l'électro-solaire se trouve quasiment partout au plan ressources et simplicité). La filière hydrogène va être très sollicitée car elle est très intéressante mais pour beaucoup de véhicules légers pas la plus pertinente sur l'ensemble de la chaîne de A à Z (rendement, transport, stockage, conversion etc) ni la plus pratique (recharge solaire ou domicile, bureau, commerces etc). De plus les batteries ont un potentiel d'évolution, l'hydrogène on en connait les principales limites techniques. Donc hydrogène et électro-solaire ont des voies optimales chacune, idem pour le biogaz pour les camions, flottes captives locales etc.

Véhicules solaires et solaire dans l'automobile | 24 juin 2014 à 00h42 Signaler un contenu inapproprié

la PME française McPhy Energy propose un procédé technique qui pourrait changer la donne. Une solution de stockage sous forme d’hydrogène solide, issue d’une décennie de recherche et développement en association avec le CNRS et le CEA.
CA RENDRAIT CES STUPIDES EOLIENNES PLUS ECOLOGIQUES !!!!!
Restera à régler le probléme des nuisances sur le paysage .

véhicule à hydrogéne | 24 juin 2014 à 09h29 Signaler un contenu inapproprié

"Véhicule propre"...

Se débarrasser d'un véhicule diesel qui roule encore pour acheter une voiture en plastique pleine d'électronique, avec des batteries au lithium (métal rare), qui roulera à l'énergie nucléaire sur moins de km que nos vieux diesels, vous trouvez sa propre vous??

N'oublions pas que la base de l'écologie concernant les objets est de ne pas les jeter!

thomas | 13 août 2014 à 11h54 Signaler un contenu inapproprié

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