Samoa

(0,004% des émissions mondiales) Vise une production électrique totalement renouvelable à l'horizon 2017 (contre 26% en 2014), sous condition de soutien financier et technologique.

GES visé : CO2. Energie
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir marchés carbone internationaux.

Iles Cook

(% des émissions mondiales non connu) Propose de réduire les émissions de GES du secteur électrique de 38% entre 2006 et 2020. Objectif porté à 81% d'ici 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

GES considérés : non précisé. Secteur visé : énergie
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Kiribati

(0,0001% des émissions mondiales) Réduction de 13,7% des émissions de GES en 2025 et de 12,8% en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Les objectifs pourraient être respectivement portés à 62,5% et plus de 61,8% avec un soutien financier et technique.

GES visé : CO2. Tous secteurs.
Ne comptabilise pas l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux.
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Canada

(1,48% des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions entre 2005 et 2025.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et tous secteurs.
Forêts prises en compte, sur une base de calcul nette/nette qui ne considère que l'accroissement des absorptions (ou des émissions) par rapport à la situation d'origine.
Le Canada pourrait recourir aux marchés carbone internationaux s'ils sont "solides".
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Etats Unis

(14,69% des émissions mondiales) Réduction de 26 à 28% des émissions entre 2005 et 2025.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
Forêts prises en compte, sur une base de calcul nette/nette qui ne considère que l'accroissement des absorptions (ou des émissions) par rapport à la situation d'origine.
Sans recours aux marchés carbone internationaux.
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Mexique

(1,36% des émissions mondiales) Réduction de 25% des émissions en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif composé d'un abattement de 22% des émissions de GES et d'une réduction de 51% des émissions de carbone suie. Pic des émissions en 2026.

Carbone suie et tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs & PFCs) hors trifluorure d'azote (NF3). Tous secteurs.
La prise en compte de la gestion des sols et forêts n'est pas précisée. Vise un objectif de déforestation nulle en 2030.
En cas d'accord satisfaisant, le Mexique envisage de recourir aux marchés carbones internationaux et de relever son effort à 40% par rapport au scénario au fil de l'eau.

- Propose une série de mesures d'adaptation axées autour de la réduction de la vulnérabilité du pays.

Guatemala

(0,05% des émissions mondiales) Réduction de 11,2% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 22,6%, sous condition de soutien international.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Salvador

(0,02% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles, sous condition de soutien financier et technologique. Compte préciser son engagement d'ici la COP22 (décembre 2016).

GES considéré : non précisé. Secteurs visés : tous secteurs
Prend en compte la forêt et l'usage des sols
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

Belize

(0,001% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie et forêt et usage des sols) à l'horizon 2025 et 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visé : CO2. Energie, forêt et usage des sols.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Honduras

(0,04% des émissions mondiales) Réduction de 15% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visé : CO2, CH4 et N2O. Energie, agriculture, industrie et déchets.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (propose un objectif additionnel de reboisement d'un million d'hectares).
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Costa Rica

(0,03% des émissions mondiales) Vise une neutralité carbone à partir de 2021.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs et SF6), hors NF3 et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Equateur

(0,12% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie) à l'horizon 2025, sous condition de soutien financier et technologique. Devrait permettre une réduction de 40% des émissions par habitant anticipée en 2025.

GES visé : CO2. Energie.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N’évoque pas les marchés carbone internationaux.

Bahamas

(0,005 % des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie et forêts), sous condition de soutien financier et technologique. Vise notamment 30% de renouvelables en 2030.

GES considérés : CO2, CH4 et N2O. Secteurs visés : énergie et forêts
Prend en compte des forêts et de l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Cuba

(0,12 % des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie), sous condition de soutien financier et technologique. Vise notamment 30% de renouvelables en 2030.

GES considérés : CO2, CH4 et N2O. Secteur visé : énergie
Prend en compte des forêts et de l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

Jamaique

(0,02 % des émissions mondiales) Réduction de 7,8% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 10%, sous condition de soutien financier et technologique.

GES considérés : CO2, CH4 et N2O. GSecteur visé : énergie
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols
Ne compte pas recourir aux marchés carbone internationaux

Haïti

(0,002 % des émissions mondiales) Réduction de 5% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 26%, sous condition de soutien international.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Energie, déchets et forêt et gestion des sols.
Tient compte des forêts et de l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

République Dominicaine

(0,07 % des émissions mondiales) Réduction de 25% des émissions entre 2010 et 2030. Engagement conditionné, entre autres, à la création de mécanismes de marchés carbone internationaux efficaces.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs couverts
Tient compte des forêts et de l'usage des sols pour l'atteinte de son objectif
Compte s'appuyer en partie sur les marchés carbone internationaux

Colombie

(0,37 % des émissions mondiales) Réduction de 20% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 30%, sous condition d'un soutien international.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs et SF6), hors trifluorure d'azote (NF3), et tous secteurs.
La Colombie comptabilise les émissions et absorptions des forêts gérées. En revanche, elle ne tient pas compte des absorptions des forêts non gérées.
La Colombie envisage de recourir aux mécanismes de marché "transparents et intègres au plan environnemental".

Pérou

(0,19 % des émissions mondiales) Réduction de 20% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif relevé à 30%, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (environ la moitié des émissions).
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Bolivie

(0,11 % des émissions mondiales) Propose de protéger les droits de la Terre Mère et de répartir un budget carbone de 650 GtCO2eq entre Etats à l'horizon 2050, en tenant compte de la responsabilité historique, de l'empreinte écologique, du niveau de développement et des capacités technologiques. Liste aussi une série de mesures sectorielles.

GES considéré : Non précisé. Secteurs visés : tous secteurs
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
S'oppose aux aux marchés carbone internationaux

Guyana

(0,004 % des émissions mondiales) Evoque une série de mesures sectorielles (principalement foresterie et énergie) à l'horizon 2025, sous condition de soutien financier et technique.

GES visé : CO2. Energie et foresterie.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux s'ils sont améliorés.

Suriname

(0,004 % des émissions mondiales) Vise une production électrique totalement renouvelable à l'horizon 2017 (contre 26% en 2014), sous condition de soutien financier et technologique.

GES visé : CO2. Energie.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir marchés carbone internationaux.
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Brésil

(2,4 % des émissions mondiales) Réduction de 37% des émissions de GES entre 2005 et 2025. Objectif indicatif de réduction de 43% des émissions de GES entre 2005 et 2030.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs et SF6), hors trifluorure d'azote (NF3), et tous secteurs.
La forêt et l'usage des sols sont au cœur de la stratégie brésilienne.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux.

Chili

(0,22 % des émissions mondiales) Réduction de 30% de l'intensité carbone de son économie, entre 2007 et 2030. Objectif relevé à 35%, voire 45%, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés (CO2, CH4, N2O, HFC et PFC). Tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Argentine

(0,71 % des émissions mondiales) Réduction de 15% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 30%, sous condition de soutien financier et technologique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs et SF6) hors NF3 et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Paraguay

(0,07 % des émissions mondiales) Réduction de 10% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 20%, sous condition de soutien financier et technologique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Uruguay

(0,08 % des émissions mondiales) Evoque une série de mesures sectorielles, en fonction des GES considérés, à l'horizon 2030. Engagements sectoriels fermes et sous condition de soutien financier et technique.

GES visés :CO2, CH4 et N2O. Secteurs visés variables selon les GES visés.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Antigua-et-Barbuda

(0,001 % des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie et forêt et usage des sols) à l'horizon 2020 et 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4, N2O et HFCs. Secteurs visés : énergie, forêt et usage des sols.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Dominique

(0,0003 % des émissions mondiales) Réduction de 44% des émissions de GES entre 2014 et 2030, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4, N2O, et HFCs. Tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Barbade

(0,003 % des émissions mondiales) Réduction de 21% des émissions de GES entre 2008 et 2025 et de 23% entre 2008 et 2030, soit une réduction de respectivement 37% et 44% par rapport à un scénario au fil de l'eau.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6 et HFCs), hors PFCs et NF3, et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Grenade

(0,0006 % des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions de GES entre 2010 et 2025 et objectif indicatif de 40% entre 2010 et 2030, sous condition de soutien financier et technique.

Gaz visés : CO2, CH4. Tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux

Sainte Lucie

(0,009 % des émissions mondiales) Réduction de 16% des émissions de GES en 2025 et de 23% en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technologique.

Gaz visés : CO2, CH4, N2O. Secteurs visés : énergie et transports
Ne prend pas en compte la forêt et l'usage des sols
Envisage le recours aux marchés carbone internationaux

Saint-Vincent et Grenadines

(0,0005 % des émissions mondiales) Réduction inconditionnelle de 22% des émissions de GES en 2025, par rapport à un scénario au fil de l'eau.

Gaz visés : CO2, CH4, N2O et HFCs. Secteurs visés : tous secteurs
Prend en compte la forêt et l'usage des sols
Envisage le recours aux marchés carbone internationaux

Trinité-et-Tobago

(0,15 % des émissions mondiales) Réduire les émissions du transport de 30% en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau. L'objectif pourrait être porté à 45% et élargis à certains secteurs "sous conditions".

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Les secteurs des transports, voire de la production d'électricité et de l'industrie sont couverts
Propose une "politique robuste" en matière de gestion des forêts et des sols
N'évoque pas les mécanismes de marché

Andorre

(moins de 0,01% des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau.

Tous GES (CO2, CH4, N2O et SF6) sauf certains gaz fluorés (HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
Les éventuelles perturbations naturelles et les évènements extraordinaires concernant les puits de carbone ne seront pas considérés pour évaluer l’atteinte des engagements.
Pas de recours aux marchés carbone internationaux.

Monaco

(% des émissions mondiales non communiqué) Réduction de 50% des émissions en 2030 par rapport à l’année de référence 1990

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3)
Territoire entièrement urbanisé, pas d'émissions comptabilisées sous le secteur de la foresterie
N’exclut pas l’utilisation des marchés carbone internationaux
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Suisse

(0,11% des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions nationales entre 1990 et 2030. Réduction de 20% supplémentaires via les marchés carbone internationaux.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
Gestion des sols et forêts incluse.
Recours partiel aux marchés carbone internationaux.

- Favorable à l'inclusion du transport aérien et maritime dans l'accord international.

Monténégro

(0,006% des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions de GES entre 1990 et 2030.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3 et tous secteurs.
Ne tient pas compte de la gestion des forêts et des sols.
Compte utiliser les marchés carbone internationaux.

Serbie

(0,15% des émissions mondiales) Réduction de 9,8% des émissions en 2030 par rapport à 1990.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs et SF6) hors trifluorure d'azote (NF3) et tous secteurs.
N'évoque pas la prise en compte des forêts et de l'usage des sols.
N'évoque pas la prise en compte des forêts et de l'usage des sols.

Bosnie-Herzégovine

(0,08% des émissions mondiales) Réduction de 2% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 23% (soit une baisse de 3% par rapport à 1990), sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Saint-Marin

(0% des émissions mondiales) Réduction de 20% des émissions entre 2005 et 2030. Pourrait relever l'objectif à 25 ou 35%, sous condition de soutien financier et technologique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3 et tous secteurs.
Ne tient pas compte de la forêt et l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux.

Favorable à l'inclusion du transport aérien et maritime dans l'accord international.

Albanie

(0,02 % des émissions mondiales) Réduction de 11,5% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau.

GES visé : CO2. Energie et industrie.
Réserve sa position sur la gestion des forêts et des sols.
Compte utiliser les marchés carbone internationaux.

Macédoine

(0,03 % des émissions mondiales) Réduire de 30%, voire de 36%, les émissions de CO2 des combustibles fossiles en 2030 par rapport à un scénario business as usual. La combustion des énergies fossiles représente 80% des émissions du pays.

GES visé : CO2 (84% des émissions de GES du pays, selon la Banque mondiale). Les secteurs de l'énergie, du bâtiment et du transport sont couverts
Les émissions de l'agriculture, de la forêt et d'autres usages des terres n'ont pas été analysées, car elles constituent une par relativement faible des émissions totales de GES .
Le pays suit les réflexions au sein de l'ONU sur les mécanismes de marché et les autres dispositifs

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Liechtenstein

(moins de 0,01% des émissions mondiales) Réduction de 40% des émissions entre 1990 et 2030.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
La prise en compte de la gestion des sols et forêts n'est pas évoquée.
Recours aux marchés carbone internationaux à des conditions et dans des proportions qui restent à préciser.
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Norvège

(0,18% des émissions mondiales) Réduction d'au moins 40% des émissions entre 1990 et 2030. Vise une économie zéro carbone en 2050.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
La prise en compte de la gestion des sols et forêts sera déterminée conjointement avec l'UE.
Pourrait relever son objectif en incluant un recours aux marchés carbone hors UE.
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Union européenne

(10,29% des émissions mondiales) Réduction d'au moins 40% des émissions entre 1990 et 2030.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
La prise en compte de la gestion des sols et forêts sera déterminée au regard des futures règles internationales.
Sans recours aux marchés carbone hors UE.

Islande

(0,01% des émissions mondiales) Réduction de 40% des émissions entre 1990 et 2030. L'engagement sera révisé en l'absence d'accord international.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et tous secteurs.
Forêts et usage des sols pris en compte selon la méthode qui sera validée dans le cadre de l'accord.
L'Islande participe au marché carbone européen qui couvre 40% de ses émissions.

Ukraine

(0,88% des émissions mondiales) Réduction d'au moins 40% des émissions entre 1990 et 2030.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Moldavie

(0,02% des émissions mondiales) Réduction de 64 à 67% des émissions entre 1990 et 2030. L'objectif pourrait être porté à 78% avec un soutien financier et technique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
Ne comptabilise pas l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux.

Biélorussie

(0,21% des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions entre 1990 et 2030.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs) hors NF3 et tous secteurs.
Evoque le reboisement de 1,1% de son territoire.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.
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Russie

(5,32% des émissions mondiales) Réduction de 25 à 30% des émissions entre 1990 et 2030. Engagement indicatif et conditionné à l'accord final.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
La Russie s'engage "sous condition d'une prise en compte maximale des capacités d'absorption des forêts", ce qui implique que son objectif correspond à une hausse de 41 à 51% des émissions entre 1990 et 2030.
Sans recours aux marchés carbone internationaux.

Turquie

(0,93 % des émissions mondiales) Réduction jusqu'à 21% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3) et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Géorgie

(0,03 % des émissions mondiales) Réduction de 15% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 25%, sous condition d'un soutien international.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs & PFCs), hors NF3, et tous secteurs.
Ne comptabilise pas l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Arménie

(0,02 % des émissions mondiales) Calcule un budget carbone par tête en répartissant un budget mondial, pour la période 2015-2050, de 1.000 GtCO2 eq sur 5,3 milliards d'Hommes. Propose de limiter ses émissions à 633 MtCO2eq sur la période 2015-2050, soit 189 tonnes par habitant ou encore une moyenne de 5,4 tonnes par an et par habitant. Les émissions actuelles sont de l'ordre de 2,14 tonnes pat habitant.

N'évoque ni les GES, ni les secteurs visés.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (vise un puits carbone de l'ordre de 2,07 tonnes par an et par habitant).
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Azerbaïdjan

(0,15 % des émissions mondiales) Réduction de 35% des émissions de GES entre 1990 et 2030.

GES visés : CO2, CH4, N2O, CF4 et HFCs. Energie, agriculture, déchets et forêt et gestion des sols.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Iran

(1,59 % des émissions mondiales) Réduction de 4% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 12%, sous condition de soutien financier et technologique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs & PFCs), hors NF3, et tous secteurs.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux

Turkménistan

(0,19 % des émissions mondiales) S'engage à stabiliser ses émissions d'ici 2030, sous condition de soutien international.

GES visés : CO2, CH4, N2O. Tous secteurs.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Liban

(0,05 % des émissions mondiales) Réduction de 15% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 30%, sous condition de soutien international.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Energie, industrie, déchets et forêt et gestion des sols.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
N'envisage pas de recourir aux marchés carbone internationaux.

Israël

(0,17 % des émissions mondiales) Propose de limiter ses émissions à 7,7 tonnes par an et par habitant en 2030, contre 10,4 en 2005.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs & PFCs), hors NF3, et tous secteurs.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Egypte

(0,63% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles, sous condition de soutien financier et technologique.

GES considéré : non précisé. Secteurs visés : tous secteurs
N'évoque pas la prise en compte de la forêt et l'usage des sols
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Jordanie

(0,05 % des émissions mondiales) Réduction de 1,5% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 14%, sous condition d'un soutien international évalué à plus de 5 milliards de dollars.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs & PFCs), hors trifluorure d'azote (NF3), et tous secteurs.
Gestion des forêts et des sols prise en compte dans l'objectif.
Le recours aux marchés carbone internationaux n'est pas évoqué.

Irak

(0,32 % des émissions mondiales) INDC non traduite en Anglais.

Koweit

(0,24 % des émissions mondiales) INDC non traduite en Anglais.
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Arabie Saoudite

(1,19 % des émissions mondiales) Propose de réduire ses émissions en 2030 jusqu'à 130 millions de tonnes de CO2, sous condition de maintien de revenus pétroliers importants.

GES visés : non précisé. Secteurs visés : ensemble de l'économie.
Ne prend pas en compte la forêt et l'usage des sols.
N’évoque pas les marchés carbone internationaux.

Bahreïn

(0,06 % des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles non détaillées.

GES considérés : non précisé. Secteur visé : énergie
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols
N’évoque pas les marchés carbone internationaux.

Qatar

(0,25 % des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles non détaillées. Promeut le gaz liquéfié comme "énergie propre".

GES considérés : non précisé. Secteur visé : énergie
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols
N’évoque pas les marchés carbone internationaux.

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Émirats arabes unis

(0,44% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles à l'horizon 2021 et 2030, dont une augmentation à 24% de la part des énergies décarbonées (renouvelables et nucléaire) dans le mix énergétique en 2021.

GES visés : Non précisé. Secteurs visés : énergie, industrie et déchets.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N’évoque pas les marchés carbone internationaux.

Oman

(0,17 % des émissions mondiales) Réduction de 2% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau.

GES visés : CO2, CH4, N2O, HCFCs et PFCs. Secteurs visés : énergie, industrie et déchets.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N’évoque pas les marchés carbone internationaux.

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Chine

(23,84% des émissions mondiales) Pic des émissions "vers 2030", voire plus tôt si possible. La Chine propose aussi de porter à 20% la part des énergies décarbonées en 2030 et de réduire de 60 à 65% entre 2005 et 2030 l'intensité carbone de son économie.

A priori, tous les GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et les secteurs économiques sont pris en compte, mais cela n'est pas dit explicitement.
La Forêt participe à l'effort chinois d'atténuation, mais la comptabilité associée n'est pas précisée.
La Chine entend développer ses marchés CO2, mais ne précise pas les liens avec les marchés internationaux.

Laos

(0,04% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie, foresterie et transports) à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : non précisé. Principalement énergie, foresterie et transports.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Thaïlande

(0,96% des émissions mondiales) Réduction de 20% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 25%, sous condition de soutien financier et technologique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6) hors NF3, et tous secteurs.
Décidera ultérieurement de la prise en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Viet Nam

(0,66% des émissions mondiales) Réduction de 8% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Relève son objectif entre 25% et 30%, sous condition de soutien financier et technique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6) hors NF3 et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (compte accroître le couvert forestier pour atteindre 45% de la surface du pays).
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Cambodge

(0,12% des émissions mondiales) Réduction de 27% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4, N2O. Principalement énergie, industrie et transports.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (propose d'atteindre une couverture forestière de 60% de son territoire).
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Philippines

(0,33% des émissions mondiales) Réduction d'"environ 70%" des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : non précisé. Energie, foresterie, transport, déchets et industrie.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Palao

(% des émissions mondiales non communiqué) Propose une série de mesures sectorielles (principalement en énergie), sous condition de soutien financier et technologique. Vise notamment une baisse de 22% des émissions du secteur énergétique entre 2005 et 2025.

GES considérés : CO2 et CH4. Secteurs visés : énergie, transports et déchets
Ne prend pas en compte la forêt et l'usage des sols
Ne compte pas recourir aux marchés carbone internationaux

Kazakhstan

(0,74% des émissions mondiales) Réduction de 15% des émissions de GES entre 1990 et 2030. Objectif relevé à 25%, sous condition de soutien financier et technique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6) hors NF3 et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Kirghizstan

(0,03% des émissions mondiales) Réduction de 11,49% à 13,75% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Relève son objectif entre 29% et 30,89%, sous condition de soutien financier et technique.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Tadjikistan

(0,02% des émissions mondiales) Réduction de 10 à 20% des émissions entre 1990 et 2030. Pourrait relever l'objectif à 25 ou 35%, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Afghanistan

(0,018% des émissions mondiales) Réduction de 13,6% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier (évalué à 17,4 milliards de dollars).

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Secteurs visés :énergie, ressources naturelles, agriculture et déchets.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Pakistan

(0,77% des émissions mondiales) Envisage de contribuer ultérieurement.

GES considéré : non précisé. Secteurs visés : non précisé
N'évoque pas la prise en compte de la forêt et l'usage des sols
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Mongolie

(0,05% des émissions mondiales) Réduction de 14% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs, hors transport.
Ne tient pas compte de la gestion des forêts et des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Maldives

(0,002% des émissions mondiales) Réduction de 10% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif relevé à 24%, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2 et CH4. Energie, transports et déchets.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Sri Lanka

(0,006% des émissions mondiales) Réduction de 7% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 23%, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4 et N20. Secteurs visés : énergie, transport, industrie, déchets et forêts.
Prend en compte à la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Bhoutan

(0,001% des émissions mondiales) Compte maintenair sa neutralité carbone (avec un puits carbone forestier évalué à 6,3 MtCO2eq).

GES visés : non précisé. Tous secteurs..
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.
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Inde

(6,41% des émissions mondiales) Réduction de l'intensité carbone de son économie de 33 à 35% entre 2005 et 2030. L’Inde propose aussi de porter à 40% la part des énergies décarbonées en 2030. Conditionné à un soutien financier et technologique (non évalué).

A priori tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 NF3), mais non précisé, et tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (propose d’accroitre de 2,5 à 3 GtCO2 son puits carbone forestier).
N’évoque pas les marchés carbone internationaux.

Bangladesh

(0,41% des émissions mondiales) Réduction de 5% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 15%, sous condition d'un soutien international.

Tous les GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6) hors NF3 Couvre 69% de son économie.
Ne comptabilise pas l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux.

Birmanie

(0,25% des émissions mondiales) Evoque une série de mesures sectorielles (principalement foresterie et énergie) à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technique.

GES visé : non précisé. Principalement gestion des forêts et des sols.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols..
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Corée du Sud

(1,39% des émissions mondiales) Réduction de 37% des émissions en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs et SF6) hors trifluorure d'azote (NF3) et tous secteurs.
La décision d'inclure, ou non, les forêts et l'usage des sols dans la comptabilité carbone sera prise ultérieurement.
Prévoit de recourir partiellement aux marchés carbone internationaux.

Japon

(2,91% des émissions mondiales) Réduction de 26% des émissions par rapport à 2013, soit 25,4% entre 2005 et 2030.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3)et tous secteurs.
Gestion des sols et forêts incluse avec une approche méthodologique équivalente à celle du protocole de Kyoto
N'évoque pas l'achat ou la vente de crédits carbone sur les marchés internationaux.

Malaisie

(0,59% des émissions mondiales) Propose de réduire de 35% entre 2005 et 2030 l'intensité carbone de son économie. Objectif porté à 45%, sous de soutien financier et technologique

GES considérés : CO2, CH4, N2O . Secteurs visés : énergie, industrie, déchets, agriculture, forêts et usage des sols
Prend en compte la forêt et l'usage des sols
Ne compte pas recourir aux marchés carbone internationaux

Singapour

(0,05% des émissions mondiales) Réduction de 35,8% de l'intensité carbone de son économie entre 2005 (176 grammes d'équivalant CO2 par dollars singapourien de PIB (gCO2e/S$)) et 2030 (113 gCO2e/S$).

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs et SF6) hors trifluorure d'azote (NF3) et tous secteurs.
Travaille à l'inclusion des forêts et de l'usage des sols dans la comptabilité carbone du pays.
Etudie l'intérêt de participer aux marchés carbone internationaux.
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Indonésie

(1,66% des émissions mondiales) Réduction de 29% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 41%, sous condition d'un soutien international.

Tous GES (CO2, CH4, N2O. Tout secteur et principalement la gestion des sols, la déforestation représentant 63% des émissions.
La forêt est prise en compte.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux pour la partie conditionnelle de son engagement.

Papouasie-Nouvelle-Guinée

(0,007% des émissions mondiales) Propose de substituer toutes les énergies fossiles dans la production électrique par des renouvelables à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2 et CH4. Energie (approximativement 40% des émissions).
Tient compte la forêt et l'usage des sols (approximativement 15% des émissions).
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Micronésie

(0,0002% des émissions mondiales) Réduction inconditionnelle de 28% des émissions entre 2000 et 2025. Objectif porté à 35%, sous condition de soutien financier et technologique.

GES considéré : CO2. Secteurs visés : énergie et transports
Ne prend pas en compte la forêt et l'usage des sols
Ne compte pas recourir aux marchés carbone internationaux

Iles Marshall

(0,0002% des émissions mondiales) Réduction de 32% des émissions de GES entre 2010 et 2025.

GES visés : CO2, CH4, N2O
La prise en compte de la gestion des sols et forêts n'est pas évoquée.
Sans recours aux marchés carbone internationaux.

Nauru

(% des émissions mondiales non connu) L'île propose de recourir au photovoltaïque, plutôt qu'au fioul, pour assurer ses besoins en électricité (coût estimé à 50 millions de dollars).

GES considéré : CO2. Secteur visé : énergie
Ne prend pas en compte la forêt et l'usage des sols
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

Iles Salomon

(0,0004% des émissions mondiales) Réduction de 12% des émissions de GES en 2025 et de 30% en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Les objectifs pourraient être respectivement portés à 27% et 45% avec un soutien financier et technique.

GES visé : CO2. Energie (95% des émissions).
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Tuvalu

(% des émissions mondiales non connu) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie), sous condition de soutien financier et technologique. Vise notamment une production électrique 100% renouvelable en 2025, ce qui réduirait de 60% les émissions du secteur énergétique entre 2010 et 2025.

GES visé : CO2 et CH4. Secteur visé : énergie
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols
Ne compte pas recourir aux marchés carbone internationaux

Vanuatu

(0,0003% des émissions mondiales) Propose une approche sectorielle visant 100% d'énergies renouvelables pour le secteur électrique, soit une réduction de 30% des émissions de l'ensemble du secteur énergétique.

GES visé : CO2. Production d'électricité.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Fidji

(0,003% des émissions mondiales) Vise une production électrique 100% renouvelable en 2030 (contre 60% en 2013), sous condition de financement (500 millions de dollars). Cette mesure devrait réduire de 20% environ les émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. La réduction pourrait atteindre 30% avec une politique d'efficacité énergétique.

GES considéré CO2. Secteur visé : énergie
Ne prend pas en compte la forêt et l'usage des sols
Compte recourir aux marchés carbone internationaux
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Australie

(1,24 % des émissions mondiales) Réduire de 26 à 28% ses émissions de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2005. L'Australie se réserve le droit de revoir son objectif et ses paramètres avant l'adoption d'un accord mondial.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et tous secteurs.
Ne se prononce pas sur la forêt et l'usage des sols.
Ne se prononce pas sur le recours aux marchés carbone internationaux.

Nouvelle Zélande

(0,16% des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions entre 2005 et 2030, soit une baisse de 11% par rapport à 1990. Engagement conditionné à l'accès aux marchés carbone internationaux et à la méthode de prise en compte des émissions et absorptions associées à l'usage des sols.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et tous secteurs.
L'usage des sols est pris en compte en considérant de multiples aspects, et en particulier les enjeux liés à sécurité alimentaire mondiale.
Accès aux marchés carbone internationaux illimité.

Maroc

(0,15% des émissions mondiales) Réduction inconditionnelle de 13% des émissions en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau. Engagement porté à 32%, en cas d'accord global contraignant et de financement international.

Tous GES (CO2, CH4 et N2O) hors gaz fluorés (HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et tous secteurs.
Forêts et usage des sols pris en compte.
N'exclut pas de recourir à un mécanisme de marché international.

L'engagement conditionnel nécessite 45 milliards de dollars d'investissement, "dont 35 milliards sont conditionnés par un appui international grâce [notamment au] Fonds Vert pour le Climat".
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Algérie

(0,40% des émissions mondiales) Réduction de 7 à 22% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. La réduction de 7% est ferme et toute réduction au-delà est conditionnée à l'aide internationale.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Secteurs de l'énergie, des procédés industriels, de l'agriculture et des déchets.
Tient compte des forêts et de l'usage des sols pour l'atteinte de son objectif.
Le recours aux marchés carbone internationaux n'est pas évoqué.

Tunisie

(0,08% des émissions mondiales) Propose de réduire son intensité carbone de 13% en 2030 par rapport à 2010. L'objectif pourrait être porté à 41% sous condition de financement international.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
La forêt et les usages des sols sont inclus dans l'objectif de réduction.
La Tunisie souhaiterait recourir aux marchés carbone internationaux.

Mauritanie

(0,005% des émissions mondiales) Réduction de 22,3% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. 88% de l'effort dépend d'un soutien international.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Tient compte de la gestion des forêts et des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Mali

(0,001% des émissions mondiales) Evoque une série de mesures sectorielles (principalement énergie, agriculture et gestion des sols) à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O). Energie, agriculture et gestion des sols.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Niger

(0,003% des émissions mondiales) Réduction de 2,5% des émissions de GES en 2025 et de 3,5% en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif relevé à 25% et 34,6%, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O). Energie, agriculture et gestion des sols.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (89% des émissions totales de GES).
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Burkina Fasso

(0,004% des émissions mondiales) Réduction de 5,58% des émissions de GES en 2020, de 6,27% en 2025 et de 6,60% en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif relevé à respectivement 11,9%, 11,2% et 11,6%, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Approche par projets sectoriels.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Ghana

(0,01% des émissions mondiales) Réduction de 15% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. L'objectif pourrait être porté à 45%, sous condition de financement international.

GES visés : CO2, CH4, N2O et HFCs. Tous secteurs.
Tient compte de la gestion des forêts et des sols.
Compte utiliser les marchés carbone internationaux.

Sénégal

(0,05% des émissions mondiales) S'engage sur des objectifs inconditionnels et conditionnels pour trois dates (2020, 2025 et 2030), sur quatre secteurs (énergie, agriculture, déchets et industrie) et par rapport à un scénario au fil de l'eau.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Couvre l'énergie, l'agriculture, les déchets et l'industrie.
Ne comptabilise pas l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Cap Vert

(0,0008% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie, agriculture, forêt et usage des sols et agriculture) à l'horizon 2025 et 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés: CO2, CH4 et N2O). Energie, agriculture, forêt et usage des sols et agriculture.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Gambie

(0,001% des émissions mondiales) Evoque une série de mesures sectorielles (principalement foresterie et énergie) à l'horizon 2025, sous condition de soutien financier et technique.

Tous GES (CO2, CH4 et N2O) hors gaz fluorés (HFCs, PFCs, SF6 et NF3). Energie et gestion des sols.
Prend en compte la forêt et la gestion des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Guinée-Bissau

(0,0005% des émissions mondiales) Considère que sa forêt constitue un puits carbone et s'engage dans une politique de reforestation des zones dégradées, sous condition d'un soutien financier.

GES visés : non précisé. Forêt et gestion des sols.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Guinée équatoriale

(0,01% des émissions mondiales) Réduction de 20% des émissions de GES entre 2010 et 2030. Objectif indicatif de réduction de 50% des émissions de GES entre 2010 et 2050

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Tout secteur.
Prend en compte la forêt.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Togo

(0,02 % des émissions mondiales) Réduction de 11,14% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 31,14%, sous condition de soutien financier et technologique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Principalement énergie et foresterie.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Bénin

(0,04 % des émissions mondiales) Réduction de 21,4% des émissions en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. 83,6% de l'objectif est réalisé sous condition de soutien financier et technologique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Transport, secteur résidentiel, industries énergétiques, gestion des sols et agriculture.
Le Bénin souhaite renforcer son potentiel de séquestration de carbone au niveau du couvert forestier national.
Ne compte pas recourir aux mécanismes de marché.

Nigeria

(0,45 % des émissions mondiales) Réduction de 20% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 45%, sous condition de soutien financier et technologique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Secteurs visés : tous secteurs
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

Cameroun

(0,09 % des émissions mondiales) Réduction de 32% des émissions de GES en 2035, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O.Tous secteurs.
Ne tient pas compte de la forêt, les connaissances devant être mieux évaluées d'ici 2020.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Sao Tomé-et-Principe

(0,0002% des émissions mondiales) Réduction de 24% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien international.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Gabon

(0,02% des émissions mondiales) Réduction d'au moins 50% des émissions en 2025 par rapport à un scénario au fil de l'eau.

Tous GES (CO2, CH4 et N2O) hors gaz fluorés (HFCs, PFCs, SF6 et NF3). Tous secteurs hors stockage de carbone dans la biomasse forestière.
La forêt, qui couvre 88% du territoire, et le changement d'affectation des sols, qui génère 63% des émissions, "jouent un rôle crucial" dans la contribution gabonaise.
Sans recours aux marchés carbone internationaux.

Tchad

(0,01% des émissions mondiales) Réduction de 18,2% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif relevé à 71%, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O). Energie, agriculture, déchets et usage des sols et foresterie.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Soudan

(0,43% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles à l'horizon 2030 dans trois secteurs : énergie, forêts et usage des sols, et déchets. Vise notamment 20% de renouvelables en 2030.

GES considérés : CO2, CH4 et N2O). Secteur visé : énergie, forêts et usage des sol, et déchets
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux

Soudan du Sud

(% des émissions mondiales non connu) Propose une série de mesures sectorielles (principalement en énergie, transports et usage des sols), sous condition de soutien financier et technologique.

GES considérés : CO2. Secteurs visés : énergie, transports et usage des sols
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux

République centrafricaine

(0,0006% des émissions mondiales) Réduction de 5% des émissions de GES en 2025 et de 25% en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O).Tous secteurs.
Comptabilise la forêt et l'usage des sols (89,46% des émissions).
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.
+ Lire l'article

Ethiopie

(0,24% des émissions mondiales) Réduction de 64% des émissions en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau conditionnée à un accord multilatéral ambitieux. Vise la neutralité carbone à long terme.

Tous GES (CO2, CH4 et N2O) hors gaz fluorés (HFCs, PFCs, SF6 et NF3) et tous secteurs.
Forêts et usage des sols pris en compte.
L'Ethiopie prévoit de vendre des crédits carbone sur les marchés internationaux.

Somalie

(0,0014% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergétique), sous condition de soutien financier et technologique.

GES considérés : non précisé. Secteur visé : énergie
Prend en compte la forêt et l'usage des sols
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

Erythrée

(0,01% des émissions mondiales) Réduction de 39,2% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 80,6%, sous condition de soutien international.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Ne tient pas compte de la gestion des forêts et des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Djibouti

(0,0012% des émissions mondiales) Réduction de 40% des émissions en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 60%, sous condition de financements internationaux supplémentaire (Fonds vert, entre autres).

GES visés : CO2, CH4 et N2O Tous secteurs couverts
Ne tient pas compte de la forêt et de l'utilisation des terres
Djibouti souhaite tirer bénéfice de la finance climat

Yemen

(0,008% des émissions mondiales) Réduction de 1% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 14%, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Secteurs visés : énergie, agriculture et déchets
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

Kenya

(0,24% des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau.

GES visés : CO2, CH4 et N2O
Forêts et usage des sols pris en compte.
Ne se prononce pas sur le recours aux marchés carbone internationaux.

Comores

(0,0003% des émissions mondiales) Réduction de 84% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition d'un soutien international.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Tient compte de l'usage des sols et de la forêt.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Seychelles

(0,002% des émissions mondiales) Réduction de 21,4% des émissions de GES en 2025 et de 29% en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau.

GES visés : CO2, CH4. Tous secteurs.
Ne comptabilise pas l'usage des sols.
Ne compte pas recourir aux marchés carbone internationaux.

République du Congo

(0,03% des émissions mondiales) Réduction de 48% des émissions de GES en 2025 et de 55% en 2035, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

République démocratique du Congo

(0,32% des émissions mondiales) Réduction de 17% des émissions en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau. Engagement conditionné, entre autres, à la mise à disposition d'aides financière (au total, 12,5 milliards de dollars sont nécessaire pour financer entre 2021 et 2030 l'engagement).

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Seuls les secteurs de l'énergie, de l'agriculture et des forêts sont couverts
S'engage en faveur de la réduction de la déforestation et dans une politique d'afforestation et de reforestation
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

Rwanda

(0,001% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement foresterie et énergie) à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Principalement gestion des sols et forêt, agriculture, énergie, industrie, déchets et transports.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Ouganda

(0,008% des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie, forêts et zones humides) à l'horizon 2030. Ces mesures devraient réduire de 22% environ les émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau.

Tous GES (CO2, CH4, N2O, SF6, HFCs, PFCs et NF3). Secteurs visés : énergie, forêts et zones humides
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Burundi

(0,0007% des émissions mondiales) Réduction de 3% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 20%, sous condition de soutien international.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Energie, agriculture et forêt et gestion des sols.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux

Sierra Léone

(0,002 % des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Energie, agriculture, industrie et déchets.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Libéria

(0,002 % des émissions mondiales) Réduction de 15% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technologique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Tient compte la forêt et l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux.

Guinée

(0,003 % des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie, foresterie et agriculture) à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technologique. La réalisation de ces mesures correspondrait à une réduction de 13% des émissions entre 1994 et 2030, hors émissions liées à la dégradation des forêts.

GES visés : non précisé. Principalement énergie, foresterie et agriculture
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Côte d'Ivoire

(0,07 % des émissions mondiales) Réduction de 28% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technique.

GES visés : CO2, CH4 et N2O. Energie, agricuture, forêt et gestion des sols, et déchets.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Zambie

(0,04 % des émissions mondiales) Réduction de 25% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Relève son objectif 47%, sous condition de soutien financier et technique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Energie, forêt et gestion des sols et déchets.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux.

Tanzanie

(0,10 % des émissions mondiales) Réduction de 10 à 20% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Approche par action sectorielles.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Malawi

(0,003 % des émissions mondiales) Evoque une série de mesures sectorielles (principalement foresterie, énergie, agriculture, industrie et déchets) à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technologique. L'objectif est d'atteindre des émissions par habitant comprises entre 0,7 et 0,8 tonne CO2eq en 2030, contre 1,4 tonne CO2eq en 2010 et 1,5 tonne CO2eq attendue en 2030.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Principalement foresterie, énergie, agriculture, industrie et déchets.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (78% des émissions).
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Angola

(0,12 % des émissions mondiales) Réduction inconditionnelle de 35% des émissions en 2030 par rapport à un scénario au fil de l'eau. Objectif porté à 50%, sous condition de soutien financier et technologique (14,7 milliards de dollars).

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
N'exclut pas de recourir aux marchés carbone internationaux

Namibie

(0,02 % des émissions mondiales) Réduction de 89% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Energie, foresterie et gestion des sols, industrie et déchets.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols (maintien du puits carbone).
Ne compte pas recourir aux marchés carbone internationaux.

Botswana

(0,03 % des émissions mondiales) Réduction de 15% des émissions entre 2010 et 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Principalement l'énergie.
N'évoque pas la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Zimbabwe

(0,05 % des émissions mondiales) Propose de réduire de 33% ses émissions par habitant en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Mozambique

(0,03 % des émissions mondiales) Propose une série de mesures sectorielles (principalement énergie, foresterie et déchets) à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technologique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Principalement énergie, foresterie et déchets.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.
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Afrique du Sud

(1,22 % des émissions mondiales) Propose une stratégie Pic Plateau Déclin (PPD). Les émissions de l'Afrique du Sud en 2025 et 2032 seront comprises entre 398 et 614 MtCO2eq.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Considère que sa gestion de la forêt et des sols constitue un puits carbone.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.

Lesotho

(0,00004 % des émissions mondiales) Réduction de 10% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Pourrait relever l'objectif à 35%, sous condition de soutien financier et technologique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Principalement agriculture, énergie et déchets.
Ne prend pas en compte la forêt et l'usage des sols.
Envisage de recourir aux marchés carbone internationaux.

Swaziland

(0,02 % des émissions mondiales) Evoque une série de mesures sectorielles (énergie, transports et industrie) à l'horizon 2030, sous condition de soutien financier et technique.

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Energie, , transports et industrie.
Prend en compte la forêt et l'usage des sols.
Compte recourir aux marchés carbone internationaux.

Madagascar

(0,004 % des émissions mondiales) Réduction de 14% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau. Engagement hors gestion des forêts et des sols (possibilité de réduction de 32% supplémentaires).

Gaz visés : CO2, CH4 et N2O. Tous secteurs.
Tient compte de la gestion des forêts et des sols.
Ne compte pas utiliser les marchés carbone internationaux.

Ile Maurice

(0,01 % des émissions mondiales) Réduction de 30% des émissions de GES en 2030, par rapport à un scénario au fil de l'eau, sous condition de soutien financier et technique.

Gaz visés : CO2. Tous secteurs.
Tient compte de la forêt et l'usage des sols.
N'évoque pas les marchés carbone internationaux.