A l'occasion de son audition devant les parlementaires des commissions Développement Durable et Affaires Economiques et Sociales, le professeur à l'origine de
l'étude mettant en cause l'OGM NK603 a appelé à la mise en place d'une expertise indépendante et à la levée du "secret illégal" sur les données ayant permis les autorisations d'OGM.
"Nous ne parviendrons pas à apaiser le débat sans mettre sur la table l'ensemble des analyses de sang qui ont permis l'autorisation de ces produits, sinon nous sommes au Moyen âge de la connaissance scientifique", a-t-il déclaré.