Dans un entretien accordé au
Progrès de Lyon, le 19 février, la ministre de l'Ecologie ne se dit
"pas favorable à un financement public" d'études de techniques alternatives à la fracturation hydraulique.
Interrogé par le Commission développement durable de l'Assemblée nationale le même jour, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg avait évoqué l'idée de confier ces recherches de techniques alternatives
"à une compagnie nationale, qui puisse maîtriser sous le contrôle du gouvernement et du Parlement les tenants et les aboutissants d'une éventuelle mise en exploitation [des hydrocarbures non conventionnels] pour éviter les dérapages que nous avons vus dans de nombreux pays".