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Actu-Environnement

Adaptation au changement climatique : « Dans l'Indre, impliquer massivement tous les acteurs »

En termes d'adaptation climatique, la multiplicité des acteurs, des enjeux et des leviers nécessite une bonne coordination territoriale. Chef de projet territoires du cabinet Transitions, Adrien Dombis, revient sur la méthode choisie dans l'Indre.

Entretien  |  Gouvernance  |    |  N. Gorbatko

Mobiliser le plus grand nombre de parties prenantes, afin d'élaborer une feuille de route d'adaptation au changement climatique solide et partagée par tous : tel est le choix fait par le conseil départemental de l'Indre en 2019, après une série d'événements préoccupants sur son territoire, orages, grêle, sécheresse et incendies notamment. Un impératif d'autant plus fort que, selon les données du site « Les futurs du climat » développé par Météo-France, la température moyenne du département augmentera à la fin du siècle de 1,3 °C, selon les scénarios les plus optimistes, à plus de 4°C.

Avec l'aide du cabinet Transitions et en s'appuyant sur la méthode Tacct de l'Ademe, la préfecture et le Département se sont donc mobilisés pour mettre tous les acteurs autour d'une table : plus de 500 au total. De leurs réflexions, du croisement de leurs expertises, est déjà né un premier diagnostic. Une deuxième phase de travail débute cet automne, avec la création de groupes de travail chargés de bâtir un plan d'action, cette fois, centré sur les thématiques jugées prioritaires. Objectif : aboutir à un programme opérationnel d'ici à l'été prochain. Adrien Dombis, chef de projet territoires au sein du cabinet Transitions, juge cette méthode novatrice particulièrement pertinente pour mettre en œuvre l'intelligence collective sans laisser personne de côté.

Réactions1 réaction à cet article

on peut nourrir la planète avec des sols vivants et donc l'agriculture de conservation des sols, mais on ne pourra JAMAIS sauver les campagnes sans mettre AUX NORMES les villes !!! en France les recyclages de l'eau et de la matière organique sont inexistants !! Les stations d'épuration sont des armes de désertification massive ! non seulement l'eau est jetée en rivières pollue TOUTES les rivières mais TOUTE la fertilité des sols ( la matière organique) disparait dans des incinérateurs ou des décharges ! La France ne manque pas d'eau, la consommation (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des précipitations annuelles, mais juste de réserve. Actuellement les rivières françaises rejettent entre 50 et 70% des précipitations (alors qu'il ne faudrait jamais dépasser les 30% ...) ce qui provoque des inondations, un assèchement mathématique des bassins hydrologiques. Tous les ans les indemnités sécheresses et inondations coutent des milliards aux contribuables (sans parler des vies humaines ... ) alors qu'avec quelques millions on résoudrait en même temps les deux problèmes. Sans oublier l'énergie propre que peut fournir une turbine associée à une retenue, en France nous avons largement de quoi doubler notre production hydroélectrique !

laurent | 22 avril 2024 à 13h06 Signaler un contenu inapproprié

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