Dans une interview au quotidien
Le Monde, Laurent Fabius revient sur l'accord de Paris, adopté en décembre, et sur les moyens qui devront être engagés par les Etats pour atteindre l'objectif de limiter la hausse des températures à 2°C, voire 1,5°C, d'ici la fin du siècle. La suppression des subventions aux énergies fossiles en fait partie, selon lui, et le contre-choc pétrolier actuel constitue une occasion idéale pour limiter les impacts d'une telle mesure sur l'économie.