C'est ce qu'a déclaré le ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot, vendredi 23 juin sur RMC-BFMTV, au sujet du
projet de définition des perturbateurs endocriniens. Des rumeurs faisaient craindre un affaiblissement de la position française et un vote favorable au projet de texte actuel. Mais le ministre estime qu'"
il y a des exonérations qui, en l'état, ne sont pas acceptables". Il a donc engagé une négociation avec l'Allemagne, à l'origine des dérogations envisagées, pour se mettre d'accord sur un nouveau texte d'ici le 4 juillet, date du prochain vote.