C'est la part des phénomènes météorologiques extrêmes imputés à l'homme. Selon un rapport publié dans le bulletin de l'American meteorological society, en 2012, la moitié des phénomènes météorologique extrêmes dans le monde serait la conséquence d'activités humaines.   Ouragan Sandy aux Etats-Unis, fonte des glaces arctiques ou pluies diluviennes en Grande-Bretagne, en Australie, ou dans le nord de la Chine, etc. : 18 équipes internationales de scientifiques ont analysé les causes de douze événements météo et climatiques d'intensité exceptionnelle l'année dernière. Si les mécanismes météorologiques naturels et les fluctuations normales du climat ont joué un rôle clé dans ces phénomènes, "dans certains cas, les analyses révèlent clairement que le changement climatique induit par les émissions de gaz à effet de serre résultant des activités humaines a contribué à ces phénomènes", souligne le rapport selon l'AFP.