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Actu-Environnement

''J'aurais aimé que la loi de programmation du Grenelle aille au-delà des mesures techniques''

Présidente de l'ADEME depuis janvier 2008, Chantal Jouanno a pris ses fonctions à un moment clé : réorganisation du grand ministère du développement durable, mise en œuvre opérationnelle du Grenelle, PFUE… Elle a livré aux journalistes la position de l'ADEME sur ces questions clés.

Energie  |    |  S. Fabrégat
   
''J'aurais aimé que la loi de programmation du Grenelle aille au-delà des mesures techniques''
   
Biocarburants, paquet énergie climat, Grenelle de l'environnement… A l'heure où le baril de pétrole atteint les 140 dollars, ces problématiques sont plus que jamais au cœur des préoccupations. Chantal Jouanno, Présidente de l'ADEME, l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie, depuis le 31 janvier 2008, a livré aux journalistes la position de l'établissement public qu'elle dirige sur ces questions clés.


L'avenir de l'ADEME : « une nécessaire indépendance »

Créé au printemps 2007, à la suite de l'élection à la présidence de la République de Nicolas Sarkozy, le MEDAD, devenu quelques mois plus tard le MEEDDAT (ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire) a engagé un profond chantier de transformation. La mise en place d'un grand ministère technique rassemblant les compétences multiples dont l'Etat a besoin pour faire face aux enjeux du développement durable a entraîné une réorganisation de son administration centrale et territoriale. L'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), établissement public, n'échappe pas à la réforme.

“ Nous n'avons pas terminé la révolution et la rupture. Notre domaine nécessite encore un avis indépendant. Pour l'ensemble de ces raisons, l'ADEME ne doit pas être intégrée au ministère mais rester indépendante. ” Chantal Jouanno
L'Etat a annoncé un recentrage de l'agence sur son rôle de « précurseur », notamment à travers le financement de démonstrateurs et l'expertise. Comment va se traduire ce recentrage sur le terrain ? L'ADEME sera-t-elle intégrée à ce grand ministère ? La question reste ouverte. Pour Chantal Jouanno, l'indépendance actuelle de l'ADEME en tant qu'établissement public lui confère le droit à l'erreur, à l'expérimentation, contrairement à l'Etat qui a une obligation de résultats. Nous n'avons pas terminé la révolution et la rupture. Notre domaine nécessite encore un avis indépendant. Pour l'ensemble de ces raisons, l'ADEME ne doit pas être intégrée au ministère mais rester indépendante, précise-t-elle.
Actuellement placée sous la tutelle conjointe du MEEDDAT et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, cette petite structure de 800 personnes, dont 60 % d'ingénieurs, revendique son rôle d'expertise auprès de l'Etat, des collectivités territoriales et des entreprises mais aussi un rôle de porteur de projet. Des rôles qui nécessitent une certaine indépendance, selon sa directrice générale. Nous avons la chance d'avoir toutes les compétences (énergie, air, déchets…) dans une petite structure et c'est cette approche d'ensemble qui compte aujourd'hui. Le Grenelle de l'environnement a d'ailleurs repris un certain nombre de thèmes étudiés par l'ADEME.
Quant à la coordination par le Préfet des établissements publics régionaux, Chantal Jouanno reste sceptique : je ne pense pas que le Préfet remplacera nos délégués régionaux. Je ne peux imaginer qu'on coupe l'ADEME en deux et qu'on la prive d'une telle partie. Les régions sont de vraies sources d'inspiration.

Le Grenelle : « Ne rien faire, c'est antisocial »

Alors que les différents textes de lois issus du Grenelle sont actuellement soumis à l'arbitrage du Président de la République en vue du débat parlementaire prévu à l'automne prochain, Chantal Jouanno a émis quelques réserves sur ce sujet : j'aurais aimé que le Grenelle affiche beaucoup plus les principes dans la loi : le renversement de la charge de la preuve, la discussion à cinq, l'équité sociale... Le texte reste assez soft sur les principes. J'aurais aimé que la loi de programmation aille au-delà des mesures techniques. Le Grenelle de l'environnement repose sur des valeurs nouvelles. C'était l'occasion de débattre devant le Parlement de ces valeurs nouvelles.
Le vote de loi à l'automne par le Parlement ? Je ne pense pas qu'il faille faire un parallèle entre ce qu'il s'est passé sur les OGM et le débat parlementaire sur le Grenelle de l'environnement. Il est sûr qu'il y a une attente forte de la population. Ce qui nous menace, c'est l'incompréhension totale du débat, autour de mesures très techniques. Le développement d'un discours est cher, mais ce qui va coûter cher, c'est de ne rien faire. Et ne rien faire, c'est antisocial.
La contribution énergie climat ? L'intérêt d'une telle contribution est qu'elle se substitue à la taxation sur le travail. On fait coup double en taxant ce qui pollue et en dégageant ainsi de l'argent pour investir immédiatement.
Les biocarburants ? Ils posent la question de l'occupation des sols. Il faut reconnaître que c'est une question où l'on tâtonne aujourd'hui. Si la méthode d'évaluation de l'impact des biocarburants a évolué aujourd'hui et que le bilan reste néanmoins positif en France -positif bien que moindre que les précédents résultats- il manque dans l'outil d'évaluation la question de l'occupation des sols mais aussi la question de l'eau.

Le paquet Climat Energie : « Un monstre avec des sujets explosifs »

La France a entamé mardi son mandat à la tête de la Présidence européenne, avec au centre des dossiers environnementaux le paquet Energie climat : c'est un monstre avec des sujets explosifs, comme la révision du système communautaire d'échanges de quotas - il va falloir déterminer combien de quotas vont être mis sur le marché - la directive sur les énergies renouvelables et le problème des garanties d'origine, la question d'un ajustement fiscal aux frontières avec la question de la mise en place d'une taxe aux frontières et la question de la TVA à taux réduit sur les produits verts - la Commission est contre.

Le PIB : « Un instrument daté »

Si le Grenelle de l'environnement repose sur des valeurs nouvelles selon la directrice générale de l'ADEME, l'indicateur actuel de richesse semble lui aussi devoir intégrer de nouvelles problématiques : le PIB est un système qui fonctionne très bien dans un monde industriel. Il a été créé pour détruire la société agraire. Aujourd'hui, c'est un instrument daté. Il faut concevoir un nouvel instrument économique qui prenne en compte la dégradation du patrimoine… Mais aussi les questions sociales : à l'ADEME, on se rend compte qu'on dépasse les questions écologiques pour glisser vers des questions qui touchent au social. Nous travaillons par exemple sur la question de la précarité énergétique. C'est incontournable d'intégrer ces questions. C'est un acte d'équité sociale.

Réactions11 réactions à cet article

Le secteur du Solaire, PV et ECS

Je suis le gérant d'une sarl d'importation de panneaux solaires thermiques ou photovoltaiques. je dois faire un certain nombres de remarques quand à la structure du SER le Syndicat des Energies Renouvelables qui inclus toute une série d'organismes incontournables en France. Mme Jouanno je l'espère pourrait s'occuper de demander une répartion plus harmonieusement les AIDES régionales destinées au développement des EnR, mais au delà des problèmes d'inégalités financières en région, je souhaiterai que l’ADEME nous face un étude justifiant de l’incitation à l’intégration des capteurs thermiques et photovoltaiques, la question est technique (rendement) mais elle est aussi financière puisque c’est le porte monnaie du contribuable qui est touché, alors pour un investissement à 1000 euros par m², ne serait-il pas souhaitable d’optimiser le rendement des capteurs installés en toiture des particuliers ou industriels et agricoles. Sur les 480 ingénieurs de l’ADEME, ne serait-t-il pas possible d’en affecter 1 à la rédaction d’un document de référence justifiant des rendements obtenus en fonction de l’inclinaison des capteurs en intégration sur nos toitures Françaises entre 10° et 65°, il serait ensuite compréhensible que les aides soient affectées proportionnellement au rendement obtenu après la pose du matériel concerné ce qui justifierai de la compétence des installateurs qualifiés.
Je suis disponible pour participer à tout groupe de travail allant dans ce sens, et de nombreux ingénieurs indépendants sont prêts eux aussi a participer à l’élaboration d’une méthode de pose compatible avec économie et rendement.
M Sailliard

catalan0468 | 05 juillet 2008 à 09h20 Signaler un contenu inapproprié
La machine à rien

Désolé, mais si on y pense bien les résultats, ou l'absence de résultats (explosion des km parcourus, des kwh consommés, ...) de l'ADEME imposent bien de changer son fonctionnement.
D'autant plus que l'urgence d'aujourd'hui ne peut être résolue avec des méthodes d'hier qui d'ailleurs, n'ont pas donné les résultats escomptés - entre autre - sur les particuliers.

J'ajoute que le nécessaire lobby de l'ademe sur l'isolation (publicité, crédit d'impôts, etc.) n'est rien comparativement à celui fait sur les EnR (crédit d'impôts, aides régionales, etc.).
Peut être est-il temps de revoir les missions et moyens de cette agence, pour l'orienter vers les économies d'énergie et la sauvegarde environnementale.

Les politiques régionales doivent être coordonnées localement (collectivités, régions, etc.) avec des acteurs aux compétences élargies et en rapport aux objectifs nationaux. Confier ce rôle aux préfets est certainement ce qui serait de mieux pour les économies d'énergie et les citoyens.

Désolée pour cette nouvelle arrivée, mais ce n'est pas en arguant que le contexte devient favorable que l'on obtiendra des résultats. Coordonner les missions de l'ademe au sein des préfectures (DDE, DRIRE, immatriculation, permis de construire) devrait favoriser les projets responsables et éviter l'empêchement d'acteurs qui veulent continuer à peser, en dépit de l'urgence climatique.

Vite !!! | 09 juillet 2008 à 13h27 Signaler un contenu inapproprié
Re:La machine à rien

Ridicule ! Un service décentralisé de l'état supplémentaire, av ec ses lourdeurs, son inertie,..
Une partie de ce qui donne la force de l'ADEME, c'est justement son organisation indépendante des structures étatiques. L'organisation en délégations régionales permet une coopération étroite, et parfois une fusion, de ses moyens humains et financiers avec les Régions. Ce qui ne l'empècvhe pas d'agir auprès des administrations étatiques (DDE, DDA, DRIRE...) Les services préfectoraux ont déjà les DIREN et les DRIRE pour leur action régalienne. Leur rôle n'est pas de faire de l'incitation, de l'information et du pilotage d'opérations, comme c'est le cas de l'ADEME.
Ne mélangeons pas tout, et ne revenons pas à des structures centralisées sur l'Etat ; les questions environnementales sont bien mieux traitées au niveau des territoires mêmes...
Ce qui plomberait le bilan de l'ADEME, si on la jugeait par les résultats (encore qu'on pourrait la juger sur d'autres critères que ce que vous avancez ; l'ADEME n'est pas responsable du mode de vie des Français...), c'est bien plutôt la faiblesse des moyens qui lui sont alloués...

Cassandre | 10 juillet 2008 à 10h06 Signaler un contenu inapproprié
Le PIB, c'est totalement débile

"Le PIB, un instrument daté" : Elle est gentille la présidente de l’ADEME

Le PIB n’a JAMAIS été un instrument de mesure intelligent de la richesse d’un pays

Le père du Principe de Peter expliquait déjà en 1975 (et je le répétais en étonnant que, par exemple, plus il y avait d’accident de voiture plus le PIB d’un pays augmentait puisque cela entraîne du travail et donc des factures, et donc l'augmentation du PIB, par diverses professions du garagiste aux Pompes funèbres ; sans oublier le médecin. Pareil pour les grandes catastrophes plus ou moins naturelles

Et pourtant durant de nombreuses années les très intelligents politiciens, économistes, journalistes et autres intellos qui gouvernent nos esprits ont gloser tant et plus sur la base de cette débile référence qu’est encore parfois le PIB.

Au moins l’IDH (Indice de Développement Humain), c’est moins imparfait. Mais "peut mieux faire" réalistement

Spikritik | 11 juillet 2008 à 07h32 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:La machine à rien

Merci de soutenir l'ADEME. La question des moyens est clairement posée...
Pour travailler avec eux (je suis conseiller info énergie) je tiens à dire que des actions transversales sont menées auprés des DDE, DRIRE et compagnie. Merci à ceux qui avancent des idées de controler leurs paroles et leurs sources, internes si possible.
Qui d'autre que l'ADME en Région informe et suis les collectivités, entreprises... ? Et les particuliers et petites entreprises sont quand à elle dans les missions des EIE (Espace Info Energie).

Anonyme | 15 juillet 2008 à 10h03 Signaler un contenu inapproprié
Re:Le secteur du Solaire, PV et ECS

La question de l'intégration est malheureusement incitée de manière contraire aux rendements. Le PV est favorisé en intégration (rachat à 0.57187 le kWh au lieu de 0.31.. en non intégré), donc perte de rendement en été (surchauffe plus importante donc diminution des rendements). le thermique (sauf avis contraire des ABF) est, du fait de son cout d'intégration, plus souvent posé en surimposition (non intégré) et la aussi le rendement est diminué (on cherche à produire de la chaleur). Les rendements seraient meilleurs en intégré.
L'ADEME est sur le sujet.
Rémi

Anonyme | 15 juillet 2008 à 10h41 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:La machine à rien

Eh oui, personne n'est responsable de rien, le discours est convenu. J'aimerai à vous rappeler que si mon boulanger fait du pain, l'ADEME existe(ait) pour lutter contre les gaspillages énergétiques et ce, depuis 30 ans. Si on regarde les chiffres de la DGEMP, il me semble que les résultats n'y sont pas.

J'ajoute que nos voisins (Danois, GB, Allemands ou parfois Suisses voire belges) qui n'ont pas l'ADEME ne s'en sortent pas plus mal. Certains ont même un train d'avance en matière d'isolation des logements !

Vous dîtes que le rôle de cette agence est de faire du pilotage d'opérations et d'information, je crois que ceci n'est pas une mission mais une stratégie définie. Si celle-ci à échoué, peut être faut-il la reprendre ? Le fait que ses services soient repris au niveau du département (préfecture), cela ne signifie pas que les services soit centralisés, mais qu'au contraire on passe d'une échelle régionale à départementale, bien plus au fait des spécificités locales !

Enfin, en ce qui concerne le mode de vie des français, rappelons que le lobby fait pour les EnR (Crédit d'impôt), incite plus fortement les français à acheter des panneaux solaires que de l'isolation, c'est un fait.

Vous n'êtes pas convaincu ? faîtes un test et voyez, qui d'un particulier/politique/BET arrive à avoir l'information qu'il cherche d'une ADEME. Après 15 minutes et de nombreux renvois, on finira peut être par devoir recommencer le lendemain avant 17h00

Vite | 15 juillet 2008 à 11h57 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:Re:La machine à rien

Rassurez-vous, il existe fort heureusement d'autres services tout aussi (voire plus?) compétents que ceux de l'ADEME pour les collectivités ou les particuliers. En l'occurrence, les BET ou bureau d'études techniques auxquels l'ademe fait souvent appel pour conduire des projets.

En ce qui concerne les particuliers, gageons que des fournisseurs d'énergie (mais pas seulement) font en plus des conseils, la mise en œuvre. Chose, qui si je ne me trompe échappe aux Espace d'énergie, non ?

Vite | 15 juillet 2008 à 12h03 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:Re:La machine à rien

Je suis désolé messieurs mais je conteste. Certes nous sommes difficilement joignable certains jours mais vous trouverez tout les numéros des EIE sur le site de l'ADEME directement (bas de page d'acceuil).
Les fournisseurs d'énergie ? Quelle honte, ce sont de ridicules conseillers, faites le test chez Bleu Ciel ou Dolce Vita et vous verrez. Parlez leur de pare vapeur ou de TVA sur le PV et vous verrez.
Tout à fait d'accord, on oriente via le CI ou d'autres aides les particuliers cers les EnR sans avoir le réflexe isolation+ventilation. Erreur grossière que l'on va payer tot ou tard.
Nous sommes responsable (ADEME et EIE) du suivi, conseil, pilotage objectif et gratuit vers la MDE (moi je n'hésite pas à parler des négawatts) et qui mieux que nous (nous ne vendons rien hein et on m'a jamais dit d'appuyer le programme nucléaire français) peu conseiller sur la MDE dans les batiments ?
pourquoi l'Inde veut créer une ADEME à elle ? Certes nos voisins sont plus performants que nous dans certains secteurs (minergie, passiv haus...) mais eux n'ont pas autant de nucléaire (malheureusement) et nous achete l'élec hein ! Ils ont cepedant des structures paralleles certes intégré aux collectivités mais réelle !
Rémi

Anonyme | 15 juillet 2008 à 12h16 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:Re:Re:La machine à rien

On jugera de votre "objectivité" dans ce message où je retrouve tout et son contraire. A commencer par cette prise de position sur le nucléaire.

Vous avez de drôles de jugements quant aux compétences des "conseillers" chez les fournisseurs d'énergie. Je crains que vous ne soyez en complet décalage quant à la réalité.

Bon rêve, mais pensez vite à vous réveiller tout de même...

Vite | 15 juillet 2008 à 13h05 Signaler un contenu inapproprié
Re:Re:Re:Re:Re:La machine à rien

Excusez moi ? Quelle nonchalance, ça fait peur...
Je m'ecuse de la fin de mon post précédent ou la tournure de ma phrase pourrait faire penser que je suis pro nucléaire. En l'occurence je suis plus contre surtout le dernier EPR qui n'est la que pour vendre et donc faire de l'argent (bon investissement vu le prix des énergies qui va exploser). je suis surtout pro négawatt.
Mon objectivité est réelle et vous n'avez qu'a m'interroger sur des sujets relatif à la performance des bâtiments (neuf ou réno) en technique, reglementation... et vous verrez bien. Je parle que de ce que je sais et en l'occurence, je connais bien les soit disant conseillers de chez EDF et GDF pour y avoir des amis qui y sont partis (d'un EIE vers Dolce Vita notament) pour une simple question de paye. la preuve est qu'ils pronent l'isolation (heureusement quand même) mais surtout de la chaudière gaz condensation couplée à un chauffe eau solaire (CESI). Par contre votre objectivité me semble toute relative au vu ds arguments que vous avancez. Vous êtes qui et vous bossez pour qui ?
je suis donc trés réveillé et en plus avec les yeux ouverts...
Rémi

Anonyme | 15 juillet 2008 à 14h02 Signaler un contenu inapproprié

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