C’est la proportion de la surface agricole française détenue par des sociétés agricoles financiarisées, c’est-à-dire des sociétés à capital ouvert qui permettent à des investisseurs non agricoles de prendre le contrôle des fermes, révèle le réseau Terre de liens dans la seconde édition de son
rapport sur l’état des terres agricoles en France. Le mouvement citoyen demande au Gouvernement de mieux contrôler ces sociétés, «
au risque de laisser se développer un modèle d’agriculture de firmes qui empêche des installations à taille humaine respectueuses de l’environnement ».