C’est le pourcentage de la population mondiale qui risque d’être exposée à des vagues de chaleur mortelles d’ici 2100, si les émissions carbone continuent d’augmenter au rythme actuel. Même avec une réduction significative, 48% des humains seraient touchés. Il s’agit du résultat d’une étude de l’université de Hawaï à Manoa, publiée dans la revue
Nature Climate Change.