Robots
Cookies

Préférences Cookies

Nous utilisons des cookies sur notre site. Certains sont essentiels, d'autres nous aident à améliorer le service rendu.
En savoir plus  ›
Actu-Environnement

Mesures du CO2 : le lancement du satellite de la NASA échoue

Gouvernance  |    |  R. Boughriet
Selon un communiqué de la NASA publié hier, la mise en orbite de l'Orbiting Carbon Observatory (OCO), un satellite chargé d'observer les émissions de CO2, a échoué.

Le satellite OCO, lancé dans la nuit le 24 février, à 9H55 GMT, à bord d'une fusée ''Taurus XL'' depuis la base militaire de Vandenberg en Californie, n'a pas pu être largué de la capsule de protection qui s'est écrasée dans l'océan à proximité de l'Antarctique, a indiqué John Brunschwyler, responsable du programme de la fusée Taurus XL de la société Orbital Science Corporation.

Selon les indications préliminaires, la capsule de la fusée Taurus XL ne s'est pas séparée du satellite quelque trois minutes après le lancement, a précisé la NASA.

Le satellite OCO devait avoir pour mission d'étudier les émissions de dioxyde de carbone à l'échelle planétaire. Le coût de la mission était de 278 millions de dollars.

Réactions1 réaction à cet article

Encore un

Bonjour.
Après la perte il y a deux ans du satellite destiné à effectuer les mesures d'épaisseur des calottes polaires afin de connaître exactement l'état de leur fonte et les risques de dislocation, après la perte il y a un peu plus longtemps d'une sonde solaire destinée à connaître l'évolution de l'activité solaire et son incidence réelle sur le réchauffement climatique, le doute n'est plus permis.Certains groupes d'influence économique et politiques ont tout intérêt à ce que la réalité de la dérive climatique et son impact futur reste le plus longtemps possible ignoré des instances scientifiques et donc du public.
A charge ou à décharge de la théorie actuelle prônant la vraisemblance d'une origine humaine au réchauffement, il semble qu'il y ait des intérêts "supérieurs" qui s'attachent à la persistance du doute, retardant d'autant des mesures draconniènes qui nuiraient aux retours sur investissements des grands cartels de l'énergie et de la pétrochimie...
Et celà pour n'évoquer que les présomptions limitées à notre environnement planétaire...évinçant pour le moment une origine extra tellurique.
La postérité saura reconnaître les amis et les traîtres de l'humanité...
Bon courage à tous et à toutes.

sceptik | 25 février 2009 à 13h29 Signaler un contenu inapproprié

Réagissez ou posez une question à la journaliste Rachida Boughriet

Les réactions aux articles sont réservées aux lecteurs :
- titulaires d'un abonnement (Abonnez-vous)
- inscrits à la newsletter (Inscrivez-vous)
1500 caractères maximum
Je veux retrouver mon mot de passe
Tous les champs sont obligatoires