C’est la surface totale d’espaces naturels, agricoles et forestiers (NAF) artificialisés en 2020, selon les
données de l’observatoire de l’artificialisation du Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema). Le rythme de consommation est en stagnation depuis 2015.
« L’augmentation de la consommation d’espaces semble moindre que celle de la construction, étayent les experts du Cerema.
En d’autres termes, on construit plus, mais “mieux”. »