Dans les territoires peu denses, les questions de mobilité s'entremêlent aux enjeux sociaux. La voiture est encore indispensable pour beaucoup de déplacements. Les réponses doivent être multiples et globales. Plusieurs choix s'offrent aux collectivités et entreprises pour s'attaquer à ce sujet.

La COP 21, qui s'est tenue mi-décembre à Paris, a été l'occasion de mettre en avant les solutions bas-carbone diffusables dès maintenant pour limiter les émissions de gaz à effet de serre ; histoire d'aller plus vite que ce que prévoit l'Accord politique.

Fixés au niveau national, les objectifs de la transition écologique vont devoir se décliner au niveau des territoires. Une étape majeure mais exposée à de nombreuses incertitudes quant à la marge de manoeuvre des différents échelons territoriaux. Pourtant, cette déclinaison conditionnera le mode de vie urbain d'ici 2050. Gestion des déchets, approvisionnement en eau, aménagement du territoire, mobilité, les villes sont au coeur de nombreux enjeux.

Après s'être occupée des pollutions visibles, la recherche s'intéresse depuis quelques années aux micropolluants, appuyée par des politiques publiques cherchant à mieux cerner l'ampleur du problème. De nombreuses questions restent en suspend, notamment sur leurs impacts sanitaires et les méthodes épuratoires.

Alors que plus de 190 pays se penchent au chevet de la biodiversité pendant deux semaines à Nagoya, Actu-environnement revient sur ce sujet. Quelle gouvernance, quels outils et méthodes pour arrêter ou au moins ralentir l'érosion de la biodiversité ? Réflexions.

Electricité, agrocarburants, hydrogène, eau… une palette de technologies semblent se dessiner pour remplacer dès aujourd'hui, demain voire après-demain le sacro-saint pétrole dans les véhicules. Pour y voir plus clair, Actu-environnement.com revient sur chaque technique de motorisation de ces véhicules dits ''propres''.