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Actu-Environnement

La FF3C crée un syndicat des ''énergies alternatives''

Energie  |    |  S. Fabrégat
Pour s'adapter aux problématiques actuelles, les distributeurs de fioul s'ouvrent de plus en plus aux autres énergies. Une tendance confirmée par la création du syndicat des Énergies Alternatives par la fédération française des combustibles, carburants et chauffage (FF3C) et dont l'assemblée constitutive a eu lieu le 19 novembre dernier à Valence (26).

''Ce syndicat répond à un double objectif : encourager l'accès des entreprises aux nouveaux métiers liés aux énergies renouvelables et structurer la filière de distribution du bois'', annonce le communiqué de presse. En effet, de nombreux distributeurs de fioul se chargent aussi de la livraison de combustible bois.

La création de ce syndicat ''répond à un véritable besoin des entreprises. En effet, selon une récente enquête menée auprès des adhérents de la Fédération, il s'avère que 55 % d'entre eux ont déjà diversifié leur activité vers les énergies renouvelables''.

Réactions1 réaction à cet article

Initiative FF3C

Ce que votre article ne dit pas tient à la qualité des produits bois qui seraient distribués en complément ou remplacement de fourniture fuel...notamment en terme de degré de siccité(%d'humidité sur poids brut ou sec).Cette notion est importante afin de juger du pouvoir calorifique de la matèire considérée.La moyenne haute des feuillus se situe globalement à 4500kcal/kg,les produits dérivés du pétrole atteignent quant à eux 10 000kcal/kg;en ces termes et pour l'utilisateur il y a lieu de prévoir une quantité de combustible multipliée par deux au moins en cas de recours à la biomasse.L'incidence quant au stockage peut être rédhibitoire,Je vous rassure le bois dit pyrolysé serait de nature à contrebalancer ce qui est dit ci avant,à ma connaissance aucune structure associée à la pyrolysation n'existe en France à ce jour,quant à la collecte de bois dit de trituration(pâte à papier)il faut admettre que le plus souvent les couts liés à leur extraction sont problématiques,sauf si l'on excepte les coupes rases de bois d'oeuvre.L'initiative de FF3C peut à mon sens déboucher sur l'émergence d'une nouvelle source si elle s'intéresse de près au procédé ARMINES;quant à une collecte classique de sous produit il y a lieu à mon avis de dresser des périmètres de rentabilité,de région à région les données de seuil de rentabilité ou point mort peuvent être assez éloigées.Quant aux rotations des véhicules,la flotte est elle calibrée à la multiplicité des interventions,de quelle nature est elle (grumiers)?,y a t'il en bref et uniquement effet d'annonce de la part de FF3C,afin de surfer sur la vague verte? SOPHIE FABREGAT documentez nous!

squelette élégant | 27 novembre 2009 à 14h38 Signaler un contenu inapproprié

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