
Mardi 24 octobre, lors de la désignation de son bureau, l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) a choisi le sénateur Les Républicains du Maine-et-Loire Stéphane Piednoir comme président. Ce professeur agrégé de mathématiques, ancien maire de la commune Montreuil-Juigné – dont il est toujours conseiller –, ancien vice-président de la communauté urbaine Angers-Loire métropole, fait également partie de la commission de la culture, de l'éducation et de la communication du Sénat.
En compagnie de Jean-Luc Fugit, il a été corapporteur en juillet dernier du rapport de l'OPCESCT sur « Les conséquences d'une éventuelle réorganisation de l'ASN et de l'IRSN », ainsi que du rapport sur « Les implications en matière de recherche et d'innovation technologique de l'objectif de sobriété énergétique » présenté en juin avec Olga Givernet. Il est par ailleurs le coauteur, avec Huguette Tiegna, du rapport parlementaire sur « Les scénarios technologiques permettant d'atteindre l'objectif d'un arrêt de la commercialisation des véhicules thermiques en 2040 » de 2019. Stéphane Piednoir s'investit en outre fortement dans les activités de son parti, Les Républicains, puisqu'il dirige la fédération du Maine-et-Loire.
Pierre Henriet, député Renaissance de Vendée, devient le premier des vice-présidents, aux côtés de Jean-Luc Fugit, député du Rhône (Renaissance), Victor Habert-Dassault, député de l'Oise (Les Républicains), Gérard Leseul, député de Seine-Maritime (Socialistes et apparentés), Florence Lassarade, sénatrice de la Gironde (Les Républicains), Anne-Catherine Loisier, sénatrice de la Côte-d'Or (Union centriste), David Ros, sénateur de l'Essonne (Socialiste, Écologiste et Républicain).
Composée de 18 députés et 18 sénateurs, cette délégation commune à l'Assemblée nationale et au Sénat a pour mission d'informer le Parlement des conséquences de ses choix possibles à caractère scientifique et technologique afin d'éclairer ses décisions.