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Le Sirta, l'observatoire de recherche atmosphérique d'Île-de-France, fait peau neuve

Risques  |    |  F. Gouty
Le Sirta, l'observatoire de recherche atmosphérique d'Île-de-France, fait peau neuve

Le vendredi 17 septembre, le Centre national de recherche scientifique (CNRS) et l'Institut polytechnique de Paris (IPP) ont célébré le renouveau du Site instrumental de recherche par télédétection atmosphérique, Sirta. Fondé en 1999 par l'Institut Pierre-Simon-Laplace (qui rassemble huit laboratoires franciliens de recherche sur le climat), le Sirta vient d'être complètement remis au goût du jour à l'occasion de son installation dans un nouvel espace aménagé, spécialement pour lui, au bord du lac du campus de l'École polytechnique, sur le plateau de Saclay (Essonne). « Il constitue un outil de référence aux niveaux européen et international, et représente une base de données de plusieurs dizaines de variables atmosphériques enregistrées sur près de vingt ans », explique le CNRS dans un communiqué.

L'observatoire de recherche atmosphérique – composante de l'Actris, une infrastructure européenne de recherche atmosphérique – profite désormais d'une parcelle de 2,5 hectares, dont un bâtiment de 600 m2 au sommet duquel le toit de 450 m2 est recouvert d'instruments de mesure, anciens comme nouveaux (notamment un radiomètre suivant en temps réel les champs de température et l'humidité). Le Sirta devient ainsi « l'un des rares sites en Europe offrant l'instrumentation, les installations et les capacités d'accueil nécessaires pour étudier les processus physico-chimiques atmosphériques, de la surface au sommet de la troposphère, en passant par la couche limite (note : Partie la plus basse de la troposphère, influencée directement par le frottement avec la surface planétaire.), pour mieux comprendre les rétroactions climatiques aux échelles régionales et décennales, évaluer les modèles atmosphériques (climat, météo, chimie-transport) et valider les observations spatiales ».

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