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Actu-Environnement

Consultation publique en ligne pour le Pacte vert européen

Gouvernance  |    |  R. Pin

La Commission a lancé, le 31 mars, une consultation publique en ligne (1) ouverte pendant douze semaines, du 31 mars au 23 juin 2020 sur son Pacte vert. Elle porte sur la fixation d'un objectif ambitieux de l'Union Européenne en matière de climat à l'horizon 2030, et sur les actions nécessaires pour réduire plus drastiquement les émissions de gaz à effet de serre (GES). Dans le cadre du Pacte vert pour l'Europe, la Commission présentera un plan global visant à faire passer l'objectif de l'Union de réduction des GES à l'horizon 2030, entre - 50 % et – 55 % par rapport aux niveaux d'émission de 1990. Après approbation, la Commission proposera d'inclure ce nouvel objectif dans la loi européenne sur le climat.

Le nouvel objectif pour 2030 orientera également l'évaluation de la législation sectorielle relative à l'efficacité énergétique, aux énergies renouvelables, au partage de l'effort, et au système d'échange de quotas d'émission de l'UE. La révision de l'objectif actuel de 2030 permettra à l'UE de passer progressivement à la neutralité carbone d'ici 2050.

1. Accéder à la consultation publique
https://ec.europa.eu/info/law/better-regulation/have-your-say/initiatives/12265-2030-Climate-Target-Plan/public-consultation

Réactions7 réactions à cet article

Même si nous sommes en tête de la lutte pour le co2 nous ne sommes pas positifs, entre les couverts végétaux, les centrales atomiques un climat tempéré, pas besoin de chauffer beaucoup ni non plus de climatiser, les dom-tom (guyane) et l'immense territoire maritime je me suis amusé à calculer nous sommes franchement négatifs et capables de revendre du co2.
En gros nous nous punissons sans raison, aux Allemands aux italiens et autres de se remettre en question.
Quand à l'automobile mère de tous les maux, depuis la guerre de 39/45 nous n'avons jamais eu l'habitude d'acheter des véhicules énergivores à cause de taxes monstrueuses nous avons même pèché par le passage généralisé au diésel qui a eu d'autres conséquences dont nous payons la facture avec les maladies des poumons.

pemmore | 02 avril 2020 à 09h42 Signaler un contenu inapproprié

Quand on voit l'efficacité des politiques de l'UE (délocalisations, réglementation, libre concurrence etc...) dans le cadre de la crise du coronavirus, espérons que ce projet disparaisse tout comme l'UE !
La priorité de l'Humanité n'est pas le gaz à effet de serre (conséquence), mais la maîtrise de la démographie galopante (la cause). A ne pas vouloir traiter les causes, il est vain de vouloir traiter les conséquences. Evidemment, traiter cette cause, c'est également aborder le système économique actuel incompatible avec cet objectif et cela ne plait pas à une minorité !

DODO59 | 02 avril 2020 à 09h48 Signaler un contenu inapproprié

Pour réduire les émissions, enrichir la biodiversité et proposer des aliments de qualité il faut promouvoir le pastoralisme et la polyculture.

Il faut stopper toute activité non vitale et valoriser tout ce qui est vital ; c'est à dire vendre au juste prix les denrées alimentaires qui sont sous évaluées et mieux payer les métiers fondamentaux pour réduire les dépenses des consommateurs dans des marchandises ou activités inutiles, polluantes et qui asservissent les peuples les plus fragiles (délocalisation, tourisme etc).

Permettre aux paysans de vendre au juste prix c’est leur donner la possibilité d’arrêter les intrants et de revenir à de multiples fermes familiale en polycultures qui pourront proposer des produits de qualité dans la proximité, la durabilité, le respect de la nature et des consommateurs. Il faut aussi favoriser la culture et l’élevage en tenant compte des spécificités des régions ; par exemple l’élevage ovin et caprins, la culture des plantes aromatiques dans les montagnes sèches ou l’on ne peut rien faire d’autre.

Tant que l’on continuera d’importer des denrées hors normes produites à l’autre bout du monde il sera impossible de réduire les GES. L’exemple de ce qui se passe aujourd’hui nous montre combien il est important de produire à proximité.

A chaque fois que l’on achète un produit provenant d’un pays qui méprise ces ouvriers ou ses paysans, on participe au réchauffement et à la destruction des emplois et des acquis sociaux dans notre pays.

ouragan | 02 avril 2020 à 10h09 Signaler un contenu inapproprié

Attention à ne pas jouer les apprentis sorciers comme certain ces derniers mois ! Des études très sérieuses (historiques et scientifiques) démontrent que la découverte des amériques a contribué à diviser par dix la population de ce continent par l'importation de maladies inconnues comme la variole.
Conséquence, les terres cultivées se sont effondrées et la forêt a repris le dessus réduisant drastiquement les gaz à effet de serre au niveau mondial !
Résultat, cette diminution du GES aurait eu pour conséquence sur l'Europe un changement climatique (petit âge glaciaire du XVIIIéme siècle), avec son cortège de catastrophes naturelles, de famines et d'épidémies !
Un seul constat et dans tous les domaines, l'idéologie tue, alors que l'esprit "critique" permet d'analyser et d'avancer

DODO59 | 02 avril 2020 à 11h45 Signaler un contenu inapproprié

@ pemmore nous sommes en tête de la lutte pour le CO 2 parce que nous déléguons tout aux pays en voie de développement. Et le plus beau c'est qu'on critique ces pays qui nous fournissent parce qu'ils font trop de CO . Mais le encore plus beau c'est que ce sont souvent des capitaux Français qui investissent dans les pays esclavagistes et pollueur avec les indemnités carbone.

Nous ne fabriquons plus rien et nous sommes dépendant de ceux que nous accusons de polluer. la planète.

ouragan | 02 avril 2020 à 12h00 Signaler un contenu inapproprié

Qui peut encore croire qu'une consultation du public sera suivie d'effets ? Les lobbys sont par essence cyniques , ils ont plus d'efficacité que toute démarche démocratique .

sirius | 02 avril 2020 à 12h15 Signaler un contenu inapproprié

@dodo59,
bien sur augmenter le couvert végétal chez-nous car nous n'avons pas d'autres solutions pour compenser ce qui est détruit dans les zones inter tempérées est une non-solution, ça impacte des régions froides avec beaucoup de pluies qui ne se retrouveront pas dans ce qui sont devenus des déserts comme l'île de Madagascar.

pemmore | 02 avril 2020 à 12h54 Signaler un contenu inapproprié

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