Les députés ont apporté plusieurs modifications au dispositif d'interdiction d'élimination des invendus non-alimentaires neufs. Le projet de loi privilégie le réemploi et la réutilisation des invendus, mais il laisse la possibilité de les détruire. Un amendement précise que « les produits d'hygiène et de puériculture (…) invendus doivent nécessairement être réemployés ». Deux exceptions sont prévues : les produits dont la date limite d'utilisation est inférieure à trois mois et ceux pour...
Article publié le 16 décembre 2019